mardi 17 janvier 2012

voyage vers le 7ème ciel ...

Je me doute bien que beaucoup se demandent "mais quand est-ce qu'il y aura de nouvelles photos?" ... cela va venir. Mais pour l'instant, période oblige, après le petit souvenir de Noël d'un précédent post, j'ai envie maintenant de vous raconter un souvenir de jour de l'an.

Cela se passe un 1er janvier il y a quelques années alors que nous voyageons dans un train pour rejoindre des amis qui ont fêté la nouvelle année dans une maison de famille.

Nous sommes installés pour plusieurs heures dans ce que l'on appelle communément un train corail; les wagons présentent donc un compartiment unique avec les passagers installés les uns derrière les autres par rangée de quatre. Nous sommes placés à l’entrée du wagon juste à côté de la porte coulissante, et Carole est assise côté fenêtre. 

En ce jour un peu particulier, les voyageurs sont peu nombreux dans le train et les voisins les plus proches sont quelques rangées devant nous. De temps en temps, quelques passagers franchissent cependant la porte pour aller ou revenir des toilettes ou de la voiture bar voisine. 

C’est l’hiver, il fait froid et nous sommes tous les deux en pull et pantalon, tenues peu appropriés à un quelconque batifolage, notamment dans un train. Cependant nous profitons de notre relatif isolement pour commencer à nous embrasser, et notre excitation grandit progressivement avec l’envie d’aller plus loin que ce simple baiser. 

Je commence donc à utiliser mes mains et à caresser Carole. D’abord les seins à travers le pull, puis les fesses et l’entrejambe. Je lui enlève rapidement son pull pour pouvoir atteindre ses seins plus facilement à travers son chemisier. Elle commence à être bien excitée et répond activement à mes baisers; et lorsque je lui déboutonne son chemisier, elle ne proteste pas. Je fais alors sortir ses seins de son soutien-gorge pour en caresser et sucer les pointes goulument.

Je la devine très réceptive à mes caresses, et pas du tout gênée par l'incongruité de la situation. Nous ne prenons cependant pas un risque énorme, car il lui est facile de rabattre son chemisier et de se couvrir de son pull à la moindre alerte ... ce que nous faisons à plusieurs reprises.

Je sens Carole prête à quelques folies et ma main glisse dans sa culotte directement vers son sexe que je trouve ouvert et moite. Je lui déboutonne alors le pantalon en ouvrant la fermeture à glissière pour me faciliter la tâche. Pour éviter d’être surpris et être obligé de mettre prématurément fin à cet épisode, je m’assois droit dans mon siège, avec juste le bras droit en direction de ma voisine. J’installe ensuite son pull sur elle comme une couverture, ce qui a pour effet de cacher une partie de mon bras ainsi que le haut de son pantalon. Je suis bien obligé d'abandonner la caresse de ses seins, et Carole referme partiellement son chemisier pour retrouver un air présentable.

Ma main enfouie dans sa culotte est maintenant à l’abri des éventuels regards indiscrets, et il ne me reste plus qu’à faire jouer mes doigts sur son sexe en m’attardant sur son clitoris tout gonflé. Quelques passagers passent de temps en temps, mais ils ne semblent s’apercevoir de rien. Il faut dire que vue de l’extérieur Carole a l’air d’être enfouie dans un profond sommeil, la tête posée au creux de mon épaule. Il faudrait jeter un regard attentif pour s’apercevoir à sa respiration accélérée et à ses petits mouvements involontaires du bassin pour s'enfoncer mes doigts un peu plus dans son sexe qu’elle est en fait en train de prendre son plaisir. 

Sa tête sur mon épaule, ses mains accrochées à mon bras comme pour m'empêcher de retirer ma main, je la sens toute abandonnée à son plaisir, bien indifférente aux éléments extérieurs. Comme souvent dans ces cas là, et surtout que cet épisode se déroule peu après le début de notre relation, il ne lui faut que quelques minutes pour jouir silencieusement tandis que je sens ses doigts se crisper sur mon bras. 

J’ai droit par la suite à un baiser profond en guise de remerciement. Cela reste un très bon souvenir de jour de l'an ... d'autant plus que nous n’avons encore jamais eu l'occasion de renouveler une telle expérience dans un train ... 


Je m'aperçois avec nos deux anecdotes de fin d'année, que certains pourraient avoir l'impression que ces histoires sont toujours à sens unique, c'est à dire moi donnant du plaisir à Carole. Voici une petite histoire pour leur prouver le contraire.

Cela se passe à l'occasion d'un séjour avec les enfants dans une sorte de village de vacances à l’étranger. Imaginez un grand domaine avec de petits chalets et toute une infrastructure pour agrémenter le séjour (bar, restaurant, piscine etc…). Parmi les différentes commodités, il y a un endroit appelé pompeusement le club house. C’est un endroit de détente avec bar, piscine à remous, sauna, hammam, jacuzzi … dont la particularité est qu’il est interdit aux enfants pour préserver le calme de ceux qui s’y rendent. Avec nos enfants, ce n’est pas à priori un endroit pour nous. Cependant le dernier soir de notre séjour, nous avons quand même envie de voir à quoi il ressemble. Convaincus qu’il n’y a aucun danger à les laisser seuls un court moment, le plus grand veillant sur les plus petits, et après maintes discussions avec eux, nous réussissons à les convaincre de nous octroyer trois quarts d’heures de liberté entre 18h15 et 19h.

Le temps est compté ; le maillot et la serviette de bain dans notre sac nous nous précipitons vers le fameux club house. Après en avoir fait un tour rapide, nous nous dirigeons vers la zone baignade. L’ensemble est relativement peu fréquenté. Nous enfilons notre maillot et allons tester la piscine. Nous faisons quelques longueurs puis ressortons de l’eau. Nous ne sommes pas très adeptes des hammams et saunas, et nous nous dirigeons donc vers les jacuzzis. Ils se trouvent à l’entrée de la zone baignade, dans une sorte de hall desservant le hammam, le sauna et la piscine. Il y en a deux, chacun pouvant recevoir cinq ou six personnes. Un est inoccupé et nous nous y installons côte à côte de l’eau jusqu’au cou. 

C’est très relaxant, et les bulles rendant l’eau opaque, je propose à Carole d’enlever nos maillots ; le bain devient alors beaucoup plus agréable. Comme j’aime à le faire dans de telles situations ma main s’égare vers la chatte de Carole. Pour ne pas être en reste, elle m’attrape la bite qui, sous l’action des différents jets, est déjà au garde à vous. Nous nous laissons aller d’autant plus librement que ceux qui passent à côté de nous ne peuvent se douter de notre petit jeu. Carole n’apprécie pas trop mes caresses sous l’eau et elle enlève ma main de sa chatte. Elle continue néanmoins à me branler de façon très habile. A ce moment là, un couple nous rejoint dans le jacuzzi, et Carole, surprise, arrête précipitamment ses caresses. Je lui glisse à l’oreille qu’elle ne peut me laisser dans cet état là, et je lui reprends alors la main pour la reposer sur mon sexe. Il faut préciser qu’avec les remous, l’eau, qui nous arrive au cou, est complètement opaque ; on ne voit donc rien de ce qui s’y passe. Nos voisins ne semblent pas s’occuper de nous, et Carole reprend son œuvre, bien décidée à me faire jouir rapidement. Chose qu’elle réussit très bien. 

Nous attendons ensuite quelques minutes que je retrouve un aspect présentable, enfilons discrètement nos maillots et sortons de l’eau. En guise de remerciements, je fais un baiser discret à Carole. De retour à la maison, nous n’avons que cinq minutes de retard.


Avec ces deux anecdotes se déroulant à quelques années d'intervalles, vous comprenez facilement ce que nous voulons dire lorsque nous vous conseillons d'oser et de saisir les opportunités pour faire vivre votre vie de couple.


Et c'est promis, la prochaine fois vous retrouvez quelques clichés de Carole ... du moins si nous avons l'impression que nous avons toujours quelques lecteurs qui nous suivent.

5 commentaires:

  1. hummm trés coquin tout ça et quel lecture waou ... gros bisous

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  2. Sympa ces deux anecdotes et bien "imagées". On s'y croirait et, maintenant, je ferai plus attention aux couples isolés quand je prendrai le train...

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    1. Merci Kako ... oui toujours se méfier de l'eau qui dort ...

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    2. Bonjour
      Nous venons et faire le tour de votre site.
      Votre blog est très bien conçu entre les photos et les textes. Les récits sont agréables à lire et laisse libre court à notre imagination. Nous pensons que plus d'un visiteur aurait voulu vivre ces moments sans voyeurisme. Les photos sont superbes surtout avec une si belle partenaire, qui n'hésite pas à donner de sa personne.
      à bientôt Phil&Pat

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    3. Bonjour Phil et Pat, merci de votre visite et de vos agréables commentaires ... n'hésitez pas à revenir, et pourquoi pas à nous faire part d'une petite anecdote sur votre vie coquine. Biz

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