mardi 19 mars 2019

Fut un temps où le numérique n'existait pas ! (5)

Cela se passe la même année que la séance de pose du post précédent. Cette fois-ci il ne s'agit plus d'un court week-end mais de nos vacances estivales dans une autre île de la Méditerranée, elle aussi de toute beauté. 

Nous avons à l'occasion louer un gite dans une petite bourgade pas très éloignée de la mer.

Assez rapidement après avoir investi les lieux, Carole ne tarde pas à alléger sa tenue.






"Mais que vois-je à l'horizon ? Ne serait-ce pas la nouvelle locataire?"






Elle ne semble pas farouche, et c'est tout naturellement qu'elle sort accueillir le visiteur.









La lumière du matin est l'occasion de profiter de la vue environnante pour faire quelques clichés:



... et le coucher du soleil est tout aussi propice aux prises de vue :



Mais il ne faut pas oublier que nous sommes sur une île et que la plage n'est jamais très loin ... cela va donc devenir notre terrain de jeu préféré.

Si Carole est au début un peu timide et expose juste sa poitrine aux éventuels regards extérieurs :


... elle ne tarde pas à profiter de la tranquillité des lieux pour se découvrir davantage.

Et même si à l'époque les appareils capables de supporter un petit bain ne sont pas légion, je ne peux m'empêcher de prendre quelques clichés à proximité de l'eau:



Après un bon bain, j'immortalise la sortie de l'eau de ma sirène


... jamais la dernière lorsqu'il s'agit de s'offrir aux yeux de l'objectif :






Elle décide ensuite de profiter des rayons du soleil tandis que je fais une promenade dans les environs. Au retour, je découvre une vision lointaine bien agréable :







Un pêcheur local profite d'ailleurs de ce moment pour traverser la plage et découvrir cette touriste peu farouche.



















Vous comprendrez aisément que les clichés de ces vacances paradisiaques occupent, encore aujourd'hui, une place de choix dans notre album personnel.


3 commentaires:

  1. Et avec une chatte rasée, ce serait mieux ...

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  2. Bonjour
    Toujours aussi belle
    Un plaisir de vous lire

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  3. Un album personnel qui montre bien que votre complicité dans la réalisation de vos clichés était déjà présente au tout début de votre histoire. Au temps de l’argentique, je ne sais pas si vous aviez votre boutique préférée pour y faire développer vos pellicules, mais si c'était la cas, le vendeur devait être heureux lors de vos visites.
    Les TwoOfUs

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