Fut un temps où le numérique n'existait pas ! (6)

Pour continuer cette série de souvenirs, je vais poursuivre avec un épisode que les plus fidèles de nos lecteurs auront peut-être eu l'occasion de lire sur des publications passées ... certainement une des séances les plus coquines de nos jeunes années ... la différence étant que cette fois le récit est illustré .

Cela se déroule un vendredi de septembre juste après notre retour de vacances. Les enfants ont repris l’école depuis le jeudi, alors que pour nous ce n'est prévu que le lundi. Nous commençons la journée par un peu de sport et prévoyons ensuite une petite promenade en ville. 

Après notre parcours de golf, Carole se change pour revêtir une petite robe fleurie. Pendant le cours trajet vers le centre ville, je demande à Carole de m’offrir un petit plaisir et d’ôter sa culotte. A l'époque elle n'est pas encore une adepte affirmée du sans-culotte et commence par protester en me traitant quasiment d’obsédé. Nous en venons presque à nous fâcher ... ce serait bien dommage pour cette dernière journée en amoureux avant la reprise du travail et je n'insiste pas. 

Je crois que ma tentative va échouer, mais une fois la voiture garée, j’ai l’heureuse surprise de la voir passer ses mains sous sa robe et d’en sortir sa culotte de coton ; un homme à un balcon semble ne rien rater de notre petit manège. C'est tout Carole ... les "non" qui veulent dire "oui". Elle refuse malheureusement d’enlever par la même occasion son soutien-gorge et nous descendons de la voiture pour aller nous promener dans les rues. 

Le tissu de sa robe est très fin et j’aime, la tenant par la taille, descendre la main jusque ses fesses pour les sentir sous mes doigts comme si elles étaient nues. Nous allons manger un petit en-cas à la terrasse d'un bistrot. C'est cependant trop fréquenté pour que je lui demande une petite exhibition. Je lui dévoile néanmoins que j’ai l’appareil photo dans mon sac et que j’aimerai que l’on s’offre une petite séance dans le jardin public tout proche. Elle reste de marbre face à ma proposition et je ne sais pas ce qu'elle a en tête. 

Le repas terminé, nous commençons à faire les boutiques. Nous entrons dans un grand magasin et j'en profite pour revenir à la charge pour récupérer le soutien-gorge de Carole en argumentant que ce sera mieux pour les photos. Nous passons justement à proximité d’un photo-maton. Carole entre dans la cabine et ressort quelques secondes après, l’objet de mes convoitises à la main. Je m’empresse de le ranger dans mon petit sac à dos. Nous ressortons rapidement du magasin et, alors que nous marchons dans la rue, la savoir complètement nue sous sa robe légère me plait beaucoup. 

Nous nous dirigeons alors vers le jardin public, un très beau parc avec de nombreux petits chemins, de vieux arbres, de grandes pelouses. Nous sommes en pleine semaine, mais il y a quand même quelques promeneurs, cela n’en sera que plus excitant. 

Nous commençons gentiment la séance photos. Carole va s’asseoir à l’extrémité d’un banc sur lequel un couple est assis. Elle se tourne vers moi à l’opposé des personnes en remontant discrètement sa robe. C’est la première photo qui montre une Carole un peu tendue. 

Ensuite nous nous promenons dans le parc et les prises de vue commence timidement à l'abri des buissons.

Puis Carole se découvre petit à petit au fil de notre promenade.

Elle prend rapidement de l'assurance et les poses deviennent rapidement plus lascives ...

Cela déclenche chez moi une trique d’enfer. Il me faut faire preuve d'un grand stoïcisme pour rester concentrer sur mon appareil photo tandis que Carole se lâche de plus en plus dans des lieux assez exposés aux regards des promeneurs. 

Nous finissons la séance au milieu d’une pelouse assis dans l’herbe ... Carole, complètement hermétique à notre environnement extérieur et aux éventuels géneurs, se lâche totalement. 

En quittant le parc, Carole profite d’un petit chemin peu fréquenté pour m’offrir une dernière vision sur son joli postérieur, c’est la dernière photo de la séance. 

Nous retournons à la voiture pour rentrer chez nous. Assis au volant, je glisse mes doigts vers le sexe de Carole et trouve sa chatte complètement inondée, preuve qu'elle a également bien apprécié cette séance. Je lui suggère de se caresser pendant que nous roulons, histoire de se calmer un peu et de conserver son excitation, mais elle s’y refuse. Arrivés chez nous, nous sautons l’un sur l’autre. J’ai cependant été tellement excité par tout cela que je jouis trop rapidement ; ce ne fut donc pas l’un de nos meilleurs coups. Tout ce qui précède a été cependant mémorable.