Visiblement,
le second épisode t’a laissé sur ta faim, fidèle lecteur … à un point tel d’ailleurs
qu’il ne t’a même pas donné envie d’y apporter un petit commentaire. Peut-être que ce troisième épisode te rendra plus bavard. Il s’agit du récit d’une nouvelle
soirée avec nos voisins et amis, sachant que cette fois-ci, Marc et moi, nous
avons décidé de mettre le jeu au centre de la soirée et cela dès son début … ce
nouvel épisode pourrait s’appeler les femmes voudront-elles jouer ?
Préambule
Ne pensez pas que, parce que notre soirée suivante est un mois après la
précédente, il ne se passe rien pendant un mois. En effet, nous sommes voisins,
amis, et en plus avec des enfants sensiblement du même âge, nous nous voyons
donc assez fréquemment, et nous avons souvent l’occasion de discuter de choses
et d’autres, plus ou moins coquines, même si nous devons être prudents avec nos discussions, les enfants n’étant jamais très éloignés. Nous avons ainsi
quelques petites choses à vous raconter avant d’entreprendre le récit de la dite
soirée.
Carole
est en déplacement pour plusieurs jours (Eh oui, encore!) . Me sentant un peu seul, je vais
plusieurs fois chez nos voisins en fin de journée, avec ou sans les enfants. Un
soir, au cours de l’apéritif, nous discutons un peu. Sophie porte une petite
jupe qui ne demande qu'à remonter pour montrer un peu plus les jambes, et qui
laisse voir le bas de ses fesses dès qu'elle se penche un peu. Je lui dis que
j'aime bien cela, en ajoutant que Carole a une mini jupe en jean trapèze qui
donne également l'occasion d'avoir des vues très agréables. Je lui précise que
lorsque nous sommes tous les deux, Carole est souvent nue sous une telle jupe,
ce qui ne fait qu’accroître le plaisir d’une telle tenue. Sophie répond alors qu'elle
ne pourrait pas, car elle aurait l'impression que tout le monde s'en
aperçoit ; elle a encore un peu de chemin à faire à ce niveau. Néanmoins Marc
et Sophie me racontent une anecdote récente, significative d’une certaine évolution
depuis que nous nous fréquentons tous les quatre. En effet la semaine passée, ils
étaient invités chez des amis. Sophie est allé à ce dîner, avec des bas et sans
culotte sous sa jupe; ce qui pour elle est une nouveauté, car les sorties
sans culotte était quelque chose qu’elle ne faisait jamais avant de connaître
les habitudes de Carole dans ce domaine.
Ensuite,
Sophie me montre deux de ses petites robes dont elle nous avait parlé à
plusieurs reprises (sans les passer malheureusement). Il y en a notamment une
toute en dentelle très mignonne, sous laquelle elle est nue lorsqu’elle la
porte. Peut-être aurons-nous le privilège de la voir la porter au cours d’une
de nos soirées ?
Ce
même soir, Marc nous raconte que pendant la sieste du midi – nous sommes en
effet dans une région où la sieste du midi est une habitude très répandue- il a
rêvé qu'un soir où nous étions chez eux, il avait préparé de la lingerie sexy
sur leur lit, et que nous disions à nos femmes, en cours de soirée "allez
vous changer". Elles sont alors revenues toutes les deux dans une tenue
très sexy ... Etait-ce un rêve prémonitoire ?
De
mon côté, je leur ai dit que pour Noël, j'ai commandé une guêpière, et que
Carole devrait en ramener une de son voyage. Carole a bien dans sa commode des
porte-jarretelles et autres dim-up, mais je n’ai jamais eu l’occasion de la
voir en guêpière. Sophie me dit que cela devrait très bien lui aller. Il est
vrai qu’avec sa poitrine généreuse et sa taille fine, je ne peux qu’être
d’accord avec elle ; le résultat devrait être visuellement très séduisant.
Je sais que Sophie a de tels dessous dans sa
garde-robe; on aura peut-être l’occasion de comparer tout cela lors d’un de nos
prochains repas.
Curieux
hasard, la semaine suivante, c’est au tour de Marc de partir en voyage
professionnel, et lorsqu’au cours de la discussion, je leur dis avoir commandé quelques livres
dont "osez la fessée" et "11 nouvelles à lire seule les
soirs de match de foot" que Carole doit également ramener de son voyage,
Sophie me demande de lui prêter ce dernier pour la semaine prochaine. Marc ajoute
qu'il va recharger les piles en prévision ... Il semble en effet que Sophie est
une amatrice des sports mécaniques ; entendez par là qu’elle apprécie
l’usage d’ustensiles tels que godemichés ou autres vibromasseurs. En ce qui
concerne Carole, elle reste plutôt réticente à l’usage de tels jouets, et n’en
apprécie pas trop l’emploi … peut-être uniquement parce que nous nous y prenons
mal.
Carole
est maintenant de retour, après deux semaines d’absences. Son retour coïncide
avec le départ de Marc pour une petite semaine. Ils se sont juste croisés à
l’aéroport au travers d’une baie vitrée. Nos retrouvailles sont plutôt réussies ;
enfin ce n’est pas le sujet et nous n’allons pas nous étendre là-dessus. Dans
ses bagages, Carole a ramené les livres prévus dont un recueil de nouvelles
"11 nouvelles à lire seule les soirs de match", ainsi que mon cadeau,
une superbe guêpière. Lorsqu’elle lit la première nouvelle du livre le soir
dans le lit, l’effet ne s’est pas fait attendre ... C’est un peu pour cela que
j’aimerais bien qu’elle lise un peu plus souvent quelques livres
érotiques ; ces lectures, lorsqu’elles sont bien choisies ne peuvent
qu’être favorable à la libido et au fonctionnement de la machine à fantasmes. Le
lendemain, comme convenu, nous prêtons le livre à Sophie. D’après ce qu’elle
nous en dit après coup certaines nouvelles lui ont bien plu, et ont été assez
efficaces pour l’aider à patienter jusqu’au retour de son mari.
Il rentre
en début de semaine, huit jours après son départ. A l’instar de Carole, lui
aussi a profité de son voyage pour remplir sa valise et il rapporte ainsi
quelques cadeaux dont vous entendrez parler prochainement. Il faut dire qu’à
San Gorasa, certaines choses ne sont vraiment pas faciles à trouver, et qu’au
moindre voyage chacun en profite pour faire des emplettes.
Avec
tout cela, la date de notre prochaine soirée approche à grands pas. Avec
Carole, nous profitons d’un week-end pour allers faire les magasins. Je lui ai
achète une nouvelle robe. Elle ressemble un peu à celle que Sophie m’a montré
lors d’une de mes visites chez eux : courte, tout en dentelle, … bref
vraiment sexy. Un seul bémol, elle est doublée ; elle présente donc une
transparence plutôt limitée.
Avec Marc, nous mettons à profit les quelques jours qu'il nous reste avant la prochaine soirée pour travailler à son organisation; nous
préparons donc notre petit jeu, un peu coquin en essayant d’imaginer ce que nous
pourrions faire pour agrémenter la soirée, et s’amuser un peu. Mais comme Marc
le dit pertinemment « Ce sont les femmes qui décident …», et donc rien ne pourra se faire si elles n'en n'ont pas envie.
La
Soirée
Cela
y est ! Votre curiosité va enfin pouvoir être satisfaite puisque le moment
de notre nouvelle soirée entre amis est enfin arrivé. Il y a néanmoins une
incertitude de taille. Les femmes vont-elles vouloir jouer au jeu que nous leur
avons préparé ? Un excès de pudeur ne va-t-il pas contrarier nos
plans ? Auront-elles envie de se lâcher un peu ?
Comme
la fois précédente, nous avons prévu de faire dîner les enfants chez nous, et
de les laisser se garder entre eux pendant que nous irions passer la soirée
dans la maison de Marc et Sophie. Sophie amène donc ses enfants vers 19h30, et
avec Carole nous les faisons dîner. Sophie repart chez elle pour se préparer
tout en ayant vu la tenue de Carole : une robe noire assez longue nouée
autour du cou, avec un dos nu descendant jusqu’à la naissance des fesses. Cette
robe je l’ai achetée, il y a quelques semaines en présence de Marc et Sophie,
et je l’ai offerte à Carole à l’occasion de son anniversaire. C’est une robe
bien sûr un peu sexy, mais tout à fait correcte vis-à-vis des enfants qui ont
assisté à notre préparation. Carole est
bien entendu nue dessous lorsque nous quittons la maison pour rejoindre nos
amis.
Sophie porte
une robe un peu semblable à celle de Carole, bien qu’un peu moins décolletée
dans le dos. Dans l’après midi, nous avons fait le nécessaire pour que le repas
soit prêt et ne pas avoir grand chose à faire pendant la soirée. Nous nous
installons donc au salon pour boire le champagne, et commençons à discuter. Ce n’est
qu’au bout d’une bonne demi heure, la discussion prenant une tournure bien
conventionnelle, que je me décide à sortir la boite que j’ai préparée. Marc est
au courant, les femmes me regardent, un sourire aux lèvres, se demandant
certainement ce que renferme ma boîte. Nous nous sommes en effet bien gardés au
cours du mois passé d’évoquer avec elles la préparation de notre soirée. Elles
ne semblent cependant pas trop craintives, lorsque je leur explique la règle du
jeu
Dans la
boite il y a une bonne trentaine de papiers avec sur chacun une
instruction : soit une question à laquelle il faut répondre, soit une
action à réaliser. Il est prévu plusieurs tours au cours de la soirée ;
avec à chaque nouveau tour un tirage au sort pour définir l’ordre de passage
grâce à quatre cartes à jouer, chacun tirant son petit papier lorsque le joueur
précédent a répondu à l’instruction. Par ailleurs, pour éviter un éventuel
blocage, je précise que chacun a droit à un joker au cours de la soirée. Nos
femmes sont à l’aise et semblent partantes ; nous engageons donc sans
tarder le premier tour.
Marc : ton(a) partenaire te passe un glaçon sur le
corps pendant une minute
Cela ne plaît pas trop à Marc, qui pousse un cri d’effroi
dès la lecture de l’instruction.
- J’ai horreur de cela.
- Moi, je vais adorer cela. Mets toi debout. Lui demande Sophie en
rigolant et en attrapant un glaçon. Elle
lui passe alors les mains sous la chemise et fait glisser le glaçon d’abord
dans le dos puis sur le ventre. Marc semble détester cela, et se dandine dans
tous les sens en poussant des jurons, impossible à reproduire ici, à l’encontre
de son épouse. Loin de la déstabiliser, cela a plutôt tendance à la motiver, et
elle conclue l’épreuve en insérant la main chargée du glaçon à l’intérieur du
pantalon. Marc a un cri de surprise, et cela met fin à son supplice. La soirée
ne pouvait pas mieux démarrer ; cela semble avoir bien plu tant à Sophie
en tant qu’actrice, qu’à Carole en tant que simple spectatrice. Marc a pour sa
part un peu moins apprécié la chose, mais prend tout cela avec le sourire, se
disant certainement que la soirée lui offrira l’occasion de prendre sa
vengeance.
Carole : Raconte une
chose que tu as faite, et qui pourrait surprendre ou choquer beaucoup de gens
s’ils l’apprenaient.
A ce moment, je me demande ce
qu’elle va pouvoir nous dévoiler. Elle est en effet plutôt pudique sur les
mots, et j’attends avec curiosité, m’attendant à quelque chose de plutôt
gentillet. Carole fait un peu la moue en accompagnant sa réflexion d’un :
- je ne vais quand même pas
vous raconter cela.
En moi-même, je comprends à ce
stade que sa décision est déjà prise, mais qu’elle a besoin d’un petit soutien
pour se lancer. Finalement, sous nos encouragements, elle entreprend son récit
que nous écoutons sans l’interrompre.
- Voilà, c’est quand je suis
allée en France, il y a deux semaines, pour mon séminaire. J’ai passé trois
jours à l’hôtel, et ensuite je suis retournée en voiture à l’aéroport. Mon
avion n’était qu’en fin de soirée, et j’avais quelques heures à attendre. Bref,
je ne sais pas pourquoi, mais toujours est-il que j’avais envie. Je suis donc
allée dans les toilettes. Je ne me voyais pas faire cela assise sur la cuvette.
J’ai donc baissée mon collant et ma culotte à mi-cuisse. Je me suis appuyée
contre la porte, et là je me suis caressée. J’en avait tellement envie que c’est
venu très vite.
Elle n’entre pas beaucoup dans
les détails, mais l’information en elle-même suffit à me faire comprendre que
je me suis trompé et à me surprendre agréablement. Je suis en effet de ceux qui
pensent que, notamment pour une femme, l’usage de la masturbation est une
ouverture vers une sexualité plus riche et plus épanouie. J’incite donc Carole,
dès que j’en ai l’occasion, à se laisser aller à ses envies. Si au début de
notre relation, elle avait une légère tendance à culpabiliser à se sujet, elle
est maintenant complètement libérée là-dessus, n’hésitant plus à me faire
partager ces moments là. Je suis donc doublement heureux avec la confession de
Carole ; heureux qu’elle éprouve ainsi l’envie subite de se caresser,
heureux qu’elle ose ainsi nous le raconter. Je ne suis semble-t-il pas le seul
à penser cela, et avec Marc et Sophie nous approuvons tous son geste pour
s’être ainsi donner du plaisir dans un endroit plutôt insolite. Quelques jours
plus tard, alors que je lui reparle de cet épisode qui m’a bien plu, j’en
apprendrai même un peu plus. Alors qu’elle était en route pour l’aéroport, soit
un trajet de plus de deux heures d’autoroute, elle a en effet profité de la
monotonie du voyage et du peu de circulation pour se caresser tout en
conduisant. Elle ne nous avait donc pas tout raconté et l’épisode de l’aéroport
était en fait la suite de celui-ci.
Sophie : Pour tous, un
slow est diffusé. Chaque couple danse dans le noir le temps d’un titre choisi
par toi.
Depuis le début de la soirée,
nous sommes dans une ambiance musicale, et Sophie se dirige vers l’ordinateur pour
sélectionner un classique des slows. Les lumières sont éteintes et les couples
se forment. Nous profitons de la pénombre pour nous laisser un peu aller. Il y
a bien longtemps que nous n’avions pas flirter en dansant sur une musique
langoureuse. Je tire donc profit de la légèreté de la robe de Carole pour
contourner le tissu et lui caresser les fesses et les seins. Elle répond à mes
caresses tandis que nous nous embrassons fougueusement nos deux corps collés
l’un à l’autre. A coté, Marc et Sophie donnent également l’impression
d’apprécier la séance, et les mains de Marc sont tout aussi entreprenantes que
les miennes. C’est la première fois où nous échangeons des caresses aussi
intimes en présence de tiers, et nous vivons là un moment très excitant. La
musique finie, nous faisons preuve d’une surprenante discipline, et nous nous
séparons tous pour reprendre notre place sur les canapés.
Pierre : pose une
question d’ordre érotique à la personne de ton choix
Je réfléchis un court instant, et
décide d’interroger Sophie.
- Si j’ai bien compris quelques
discussions que j’ai pu avoir avec ton mari, tu sembles apprécier les charmes
féminins. Est-ce que tu peux nous en dire plus à ce sujet?
- Je ne sais pas ce qu’il t’a
raconté, mais c’est un peu excessif de dire cela.
- C'est-à-dire ? Je croyais
que tu avais déjà eu quelques expériences avec des femmes.
- Oui peut-être, mais ce n’est
jamais allé très loin. La vérité c’est que je n’ai pas d’attirance particulière
pour les femmes. Cependant il est vrai que dans le feu de l’action, si je me
sens bien, il a pu m’arriver d’échanger quelques caresses un peu plus poussées avec
une autre femme.
- Tu n’as donc jamais réellement
fait l’amour avec une femme.
- Non. Et tu en as envie ?
- Pas particulièrement.
Je suis un peu déçu. Curieux et,
comme beaucoup d’hommes, un peu excité par la bisexualité féminine – lequel
d’entre nous n’a pas au moins une fois rêvé de se trouver au lit avec deux
femmes pour un corps à corps endiablé - je m’attendais à quelques détails un
peu plus croustillants. Je la remercie néanmoins pour la franchise de sa
réponse.
Suite à ce
premier tour qui nous a mis immédiatement dans l’ambiance et s’avère prometteur
pour la suite nous passons à table. Après l’entrée, une terrine de poisson que
j’ai préparée et dont Marc raffole, nous partons pour le second tour du jeu. Ce
détail a peu d’importance pour le récit de la soirée, mais de bons mets et de
bons vins (sans trop d’abus) sont des éléments importants pour la réussite
d’une telle soirée.
Sophie ; décris ta
position sexuelle préférée, et mime la avec la personne de ton choix.
Elle nous explique une
position où la femme allongée sur le dos, légèrement sur le côté, pose ses
jambes sur la hanche de son partenaire. Cependant Carole et moi, nous ne
comprenons pas grand chose à son explication, et nous lui demandons de nous montrer
de quoi il s’agit. Elle s’exécute avec l’aide de Marc pour nous montrer de visu.
Que les âmes sensibles se rassurent : ils prennent la pose mais sans se
déshabiller et sans passage à l’acte. C’est cependant suffisant pour nous, et nous comprenons tout de suite mieux. Après
quelques recherches documentaires, il semble que cela s’appelle dans le
Kamasutra « l’union du boa ».
Pierre : Embrasse les
participants de la soirée sur la partie du corps que chacun souhaite.
Pour
commencer, Sophie me demande chastement de lui faire un baiser sur l’épaule. Ce
gage fait bien rire Marc, et il me demande de l’embrasser sur la fesse gauche.
Jouant le jeu, je m’exécute sans broncher, même si cette perspective ne
figurait pas dans mes rêves concernant un déroulement idéal de la soirée. Pour
finir, Carole me déçois un peu par son manque d’audace, et me demande également
un baiser sur l’épaule. Bref, c’est un peu un coup pour rien, heureusement que
Marc nous a bien fait rire avec l’incongruité de sa demande.
Marc : caresse les jambes
de ton(a) partenaire depuis les pieds jusqu’à la ceinture pendant 1 minute.
Marc
s’empresse de rejoindre Sophie pour cette épreuve plutôt agréable. Il l’aide à
se mettre debout, et tandis qu’il est à ses genoux, ses mains se dirigent vers
les chevilles. Il ne s’attarde cependant pas trop à cet endroit. Ses mains font
ensuite un passage éclair par les genoux, puis s’égarent rapidement sous le
tissu de la robe. Elles vont ainsi curieusement passer plus de temps sous le
tissu de la courte robe plutôt qu’au niveau des pieds. Les mains étant
dissimulées par la robe, nous ne pouvons que deviner ses caresses. Nous suivons
cependant facilement le trajet de ses doigts sur la peau de Sophie qui semble
apprécier la chose et se prête docilement à l’exercice ; elle va jusqu’à
fermer les yeux, lorsque une main se pose sur son sexe et que les doigts de
Marc semblent s’y attarder. C’est ainsi avec regret que nous leur signifions la
fin de la minute même si nous leur laissons quelques secondes
supplémentaires de répit.
Carole :
raconte ton plus récent souvenir sexuel
Carole doit un peu chercher pour
le retrouver et je dois même l’aider un peu, étant entendu que je suis un peu
concerné par la question.
- C’est rien de très original. C’était
le week-end dernier. J’ai fait un rêve érotique dans la nuit, et au matin je me
suis réveillée tout excitée. Malheureusement ce n’était pas la bonne période
pour moi. J’étais cependant en forme et j’ai commencé à caresser Pierre. Cela
ne m’arrive pas souvent d’être si entreprenante au réveil et il était tout excité.
Finalement, je l’ai sucé, et après je me suis faite jouir avec les doigts
pendant que Pierre me léchait et caressait les seins.
C’est la fin du second tour de
jeu, et nous passons au plat de résistance : un plat de langoustes très
bien préparé par Marc. Vous avez ainsi la confirmation que nous savons très
bien combiner les plaisirs de la table à ceux de la chair. Après avoir dégusté
ce délicieux plat, nous débarrassons la table. Avant de passer à la suite, je
sors de mon sac la petite robe en dentelle que nous avons acheté avec Carole quelques
jours plus tôt. C’est une robe très courte tout en dentelle laissant le dos
complètement nu avec une sorte de bandeau partant de la taille et faisant le
tour du cou pour couvrir et maintenir les seins; malheureusement cette robe est doublée, ce qui fait que l’effet de transparence du à la
dentelle est fortement atténué, le résultat reste néanmoins assez sexy.
Nous proposons aux femmes d’aller
se changer pour la fin de la soirée. Carole revient dans sa petite robe très
courte, laquelle malgré la doublure est légèrement transparente au niveau des
seins et laisse deviner les aréoles. Sophie revient avec une robe en dentelle
un peu semblable à celle de Carole mais beaucoup plus ajourée ; cependant à
notre grande surprise, alors qu’elle ne portait rien sous sa robe précédente, trouvant
sa nouvelle tenue trop transparente elle a passé un string. Nous manifestons
notre déception face à ce sursaut de pudeur, cependant guère surprenant par
rapport à ce que l’on sait de Sophie depuis quelques mois. Sans avoir prévu une
telle situation, il y a néanmoins ce qu’il faut dans les petits papiers, et je
commente ainsi le retour de Sophie :
- Dans les petits papiers qui restent, il y
en a un sur lequel il est écris "enlève un vêtement à qui tu veux ", Je sais déjà ce que je vais demander si je tombe dessus.
Ensuite avant de passer au
dessert nous entamons le troisième tour du jeu.
Marc : raconte ton plus
vieux souvenir sexuel.
C’est le pendant de la question
précédente de Carole. Contrairement à Carole, il n’a pas à chercher car il s’en
souvient très bien ; même si, finalement, il en garde très peu de souvenirs.
- J’avais environ 16 ans. C’était
à une soirée où j’avais pas mal bu. Et en fait le lendemain matin, je me suis
réveillé à côté d’une fille, et c’est elle qui m’a appris que j’avais été
dépucelé dans la nuit. A part cela, je n’en ai aucun souvenir.
Le récit de Marc est donc assez
bref, à l’image des souvenirs épars qu’ils lui restent. Nous nous
permettons de le charrier un peu sur son expérience somme toute peu glorieuse.
Carole : ton(a)
partenaire t’inflige une fessée de 5 claques sur les fesse nues.
Nous avons
déjà plusieurs fois discuté du sujet avec Marc et Sophie. Sachant que ce sont
des adeptes réguliers de cette pratique, j’ai glissé une instruction de ce type
; Carole et moi n’ayant de notre côté jamais expérimenté cela. Ce n’est donc pas
sans un certain plaisir que je me prépare à essayer quelque chose de nouveau
pour nous. Carole vient docilement se positionner près de moi. Je l’allonge en
travers de mes cuisses et lui remonte sa robe. Tandis que je lui inflige sa
punition, Sophie, assise à mes côtés, a une vue directe sur le postérieur nu,
mais aussi, j’imagine, sur les lèvres épilées de près. En effet, depuis
quelques temps, d’abord sur ma demande, et ensuite parce qu’elle y a pris goût,
Carole se fait épiler régulièrement ne conservant qu’un petit triangle de poils
bien taillé au-dessus du sexe. Quelques jours après, j’apprendrai de la bouche
de Marc que Sophie a beaucoup apprécié ce passage de la soirée. Je ne sais
cependant pas trop ce qui lui a plu dans cette scène : voir son amie ainsi
offerte sans défense, découvrir une partie de son anatomie qu’elle ne connaît
pas encore, entendre ses petits cris à chaque claques ... Avec le recul, je
regrette de ne pas avoir profité de la situation pour alterner un peu plus
claques et caresses, et ne pas avoir délivré d’habiles caresses sur l’intimité
de Carole.
Pierre : raconte ton pire
souvenir sexuel
Je dois réfléchir un peu pour
trouver l’inspiration, il est en effet plus aisé de se souvenir des bons
moments que des flops. Je choisis de raconter un épisode peu glorieux pour moi :
- Cela se passait début septembre
un jour de semaine alors que les enfants étaient à l’école, et nous encore
en congés. Nous avons profité de notre tranquillité pour aller nous promener
en ville. Carole portait une robe très légère tout en mousseline. Assez vite elle
a fini nue sous sa robe après avoir ôté sa culotte dans la voiture puis son
soutien-gorge dans le photomaton d’un grand magasin. J’aime la finesse du tissu
de cette robe. Alors que nous marchions dans la rue, ma main posée sur ses
hanches, j’avais vraiment l’impression de sentir la peau nue sous mes doigts. Ce
n’était pas encore l’époque du numérique, mais nous étions déjà amateurs de
photos coquines. Nous nous sommes donc dirigés vers le parc public du centre
ville, dans lequel nous avons fait quelques photos. Ignorant les promeneurs,
Carole m’a offert un festival de poses sexy qui ont vite rempli ma pellicule 36
poses. Tous ces petits jeux nous ont énormément excités, et se sont ensuite poursuivis
par quelques attouchements dans la voiture alors que nous regagnions notre
maison. Lorsque nous sommes arrivés chez nous, nous n’avions bien entendu
qu’une idée en tête. Malheureusement, après nous être littéralement jetés l’un
sur l’autre, j’ai jouis au bout de
quelques secondes, laissant Carole totalement insatisfaite. Elle était
tellement déçue qu’elle a dit que c’était l’heure de récupérer les enfants, et
elle ne m’a même pas laissé le temps de la satisfaire avec les doigts. C’est
une bien triste fin pour une journée si agréable, et un bien piètre souvenir
pour ma virilité.
Sophie : lèche tendrement
les lobes de l’oreille de ton(a) partenaire pendant une minute
Cela plaît
beaucoup à Sophie, d’autant plus qu’elle sait que Marc déteste cette caresse. Après
le glaçon, il a donc droit à un nouveau supplice. Elle prend un malin plaisir à
lui titiller les oreilles, insensible à ses plaintes. Carole et moi nous
assistons à ce spectacle très sensuel ; Sophie usant de sa bouche et de sa
langue avec malice.
C’est la fin
du troisième tour et nous passons au dessert, léger pour conclure ce bon
repas : ananas frais et glace maison. Ensuite, pour le quatrième tour
c’est Carole qui ouvre le bal.
Carole : ton(a)
partenaire te caresse la poitrine pendant une minute
Avant la
réalisation de cette instruction, nos amis nous proposent, pour plus de
confort, de repasser au salon. Je m’installe donc sur un des canapés, Carole à
mes côtés. Marc et Sophie prennent place sur un autre canapé. C’est la première
fois que je vais me livrer à une telle caresse devant des
spectateur, même si nous avions un peu ébauché cela devant l’ordinateur lors de
notre soirée précédente. Je commence doucement et lui caresse les seins
par-dessus le tissu de sa robe. Cependant assez rapidement, mes doigts
contournent l’obstacle et se glissent par le décolleté sous la dentelle de sa
robe. Carole joue l’indifférence, mais ses tétons réagissant sous mes caresses
contredisent son attitude. J’alterne alors les mouvements entre ma main
malaxant ses seins généreux et mes doigts triturant les pointes dressés. Carole
s’installe plus confortablement dans le canapé, et ses jambes s’ouvrent naturellement.
Nul doute qu’à se moment là elle serait partante pour des caresses plus
précises. Il n’est cependant pas question de déroger à l’instruction. Marc et
Sophie nous regardent en souriant, et lorsqu’ils me signalent la fin du jeu,
les tétons de Carole forment un relief révélateur sous le fin tissu.
Pierre : raconte un de
tes phantasmes
Je ne fais pas preuve d’une très grande originalité avec le récit
d’un phantasme récurrent dans la gente masculine et que j’ai d’ailleurs déjà
évoqué plus tôt dans mon récit :
- Cela se passe un soir alors que nous
avons prévu une soirée en amoureux. J’ai la surprise de voir Carole arriver accompagnée
d’une de ses amies à laquelle elle a proposé de se joindre à nous. Je suis
surpris voire un peu déçu, même si celle-ci est d’un physique plutôt agréable ;
cependant je ne fais pas de commentaire. La soirée commence calmement autour
d’un verre, et je fais progressivement connaissance avec cette amie de Carole
que je ne connaissais pas. Ce n’est que progressivement au cours du repas que
certaines allusions de l’une ou de l’autre me laisse imaginer que cette soirée sortira
peut-être de l’ordinaire. Il me faudra attendre la fin du repas pour que les
choses s’accélèrent et que mes impressions soient confirmées. Je passe alors une
soirée de rêve avec deux femmes dans mon lit. Deux femmes s’occupent de moi,
ensuite je prends plaisir à les contempler toutes les deux se donner
mutuellement du plaisir.
Marc : enlève le vêtement
de ton choix à qui tu veux
L’instruction
que nous attendions depuis le changement de tenue de Sophie arrive enfin. Ce
n’est pas moi qui tombe dessus ; mais Marc est sur la même longueur d’onde
que moi. Il demande donc à son épouse de se mettre debout. Il passe
délicatement les mains sous sa robe pour lui ôter son string. Elle revient donc
à égalité avec Carole. Cependant cela nous permet juste d’avoir la confirmation
que, malgré la transparence apparente de la robe, on n’aperçoit pas grand chose
de sa nudité.
Sophie : pour le reste de
la soirée, lorsque tu es assis(e), tu dois l’être les fesses nues au contact du
siège.
Après avoir
perdu son string, le sort s’acharne donc sur Sophie. Elle se voit maintenant
obligé de remonter sa robe pour mettre ses fesses au contact direct du canapé. Elle
s’exécute docilement, un sourire coquin au coin des lèvres … cela ne lui
déplait donc pas tant que cela. Marc, assis à ses côtés, est chargé par nous de
vérifier qu’elle respecte bien la consigne jusqu’à la fin de soirée.
C’est la fin du quatrième tour. Chacun
est très à l’aise et semble apprécié l’ambiance bien coquine de la
soirée ; la conversation reprend alors autour d’une dernière coupe de champagne.
C’est Marc qui prend la parole :
- Carole, je t’ai ramené un petit cadeau de
mon voyage en France. Pour commencer, nous allons te masquer les yeux.
- Qu’est-ce qui va se passer encore ?
Carole apprécie moyennement les surprises et elle semble un peu craintive de ce
qui l’attend.
Amusé, je me lève et passe un
bandeau sur les yeux de Carole, tandis que Marc se dirige vers sa chambre. Il
nous rejoint rapidement avec un objet qu’il place entre les mains de Carole.
- A ton avis, de quoi s’agit-il ?
- C’est doux, c’est une forme que je
connais … cela ressemble à un sexe d’homme.
- Gagné ! Tu peux retirer ton bandeau.
Sophie a le même et tu verras qu’il est très efficace.
Lors d’une précédente discussion,
nous avions en effet évoqué le sujet des sex-toys en précisant que Carole n’avait pas
l’habitude d’utiliser de godemiché, pour la simple raison qu’elle n’en avait
pas dans sa table de chevet. Marc a donc comblé ce vide en lui offrant un
modèle de taille raisonnable, dans une matière très agréable au toucher. Sa
forme est très évocatrice puisqu’elle représente ce que l’on pourrait appeler
un service complet. Cela lui permet d’ailleurs de tenir droit, fièrement dressé
semblant dans l’attente du sexe féminin qui viendra s’empaler dessus. Il va
ainsi passer le reste de la soirée sur la table du salon. J’espère en moi-même
que Carole voudra l’essayer très rapidement.
Il commence
à être tard, et pour finir, nous décidons de faire un dernier tour de jeu avant
de nous quitter.
Pierre : ouvre tous les
boutons et fermetures de ta tenue
Ce n’est une épreuve pas trop
difficile pour moi, et je m’exécute sans broncher. J’ouvre donc les boutons de
ma chemisette ainsi que ceux de mon pantalon.
Marc : enlève un vêtement
Pour lui
également, ce n’est pas trop difficile et il choisit d’enlever sa chemise. Nous
aurions préféré que ce soit une des femmes, chacune uniquement habillée de sa
légère robe, qui tire ce papier … aurait-elle joué le jeu ou choisit d’utiliser
son joker. Malheureusement le sort en a décidé autrement, et nous n’aurons pas
de réponse à cette question.
Sophie : les yeux bandés,
tu dois reconnaître ton(a) partenaire uniquement avec la bouche
Nous nous mettons debout et
masquons les yeux de Sophie. Pour compliquer la chose, je me mets torse nu et Marc
passe ma chemisette. Sophie se rapproche de chacun de nous. Elle reconnaît vite
Carole lorsque son visage atteint sa poitrine. Avec Marc nous avons un système pileux sur le
torse plutôt différent, et Sophie reconnaît son mari assez facilement, en usant
d’ailleurs plus de son nez que de sa bouche. Nous nous rasseyons donc
rapidement en surveillant bien que Sophie respecte sa consigne concernant la
manière de s’asseoir. Et nous passons au dernier papier de la soirée.
Carole :
Tu as gagné le droit de lancer un défi à une ou plusieurs personnes de
l’assistance. Défi à réaliser maintenant ou dans les jours qui suivent.
Carole,
fidèle à elle-même lorsqu’il s’agit de faire preuve d’imagination dans un laps
de temps assez réduit, a un peu de difficulté à trouver une idée. Je l’aide
donc un petit peu, et voilà ce que nous leur demandons : Pour le réveillon
du jour de l’an nous passons la soirée chez Marc et Sophie en compagnie d’une
bonne vingtaine de convives. Tous d’eux devront trouver un moment pour
s’éclipser, et aller faire l’amour dans un endroit de leur choix. A leur
retour, ils devront nous annoncer qu’ils ont réalisé leur défi. Marc s’empresse
de dire « facile ! Pas de problème ». Sophie a juste un
commentaire en précisant que c’est un vrai défi. Nous saurons bientôt s’ils le
remplissent.
Ce dernier
papier marque la fin de la soirée. Vous remarquerez que personne n’a fait usage
de son joker. Ce serait d’ailleurs plutôt le contraire, car à deux ou trois
reprises, Carole ou Sophie ont changé leur papier, la question à laquelle elles
devaient répondre leur semblant trop sage.
Avant
d’aller chercher leurs enfants chez nous, Sophie nous quitte pour aller se
changer. Elle ôte sa robe en quittant la pièce, et nous offre ainsi une belle
vision dénudée de dos. Tandis que Marc range un peu la pièce, j’embrasse Carole
et glisse une main entre ses cuisses ; elle semble avoir bien appréciée la
soirée. Elle va ensuite remettre la robe dans laquelle elle est arrivée pour
rentrer à la maison.
Une fois
chez nous, Marc et Sophie récupèrent leurs enfants. Avant de se quitter, tout
le monde se souhaite une bonne nuit en disant que la soirée a été très bonne.
Après avoir couché les enfants, nous nous installons au lit. Spontanément, Carole
essaye d’entrée de jeu son cadeau et s’aperçoit qu’il s’enfouit sans effort
dans son intimité. Elle fait alors aller et venir l’instrument entre ses lèvres
tout en se caressant le clitoris. Elle est très excitée, et j’adore la voir
dans une telle position. Je la regarderais bien se donner ainsi du plaisir
jusqu’à la jouissance, mais elle semble avoir envie d’autre chose. Elle se sent
au bord de l’orgasme, et sans un mot elle m’attire vers elle pour que je
remplace son nouveau jouet. La soirée se finit ainsi très agréablement, bien
que très rapidement compte tenu de l’excitation accumulée les heures
précédentes.
Les jours suivants cette soirée,
nous nous sommes revus à maintes reprises, et avons ainsi pu échanger nos
impressions. Chacun a beaucoup apprécié, et s’est bien amusé. Avec Marc, nous
avons notamment discuté en nous disant
qu’il serait bien que pour la prochaine fois les femmes préparent leurs
papiers à notre attention, tandis que nous nous occuperons des papiers destinés
aux femmes. Nous avons profité d’un repas en commun pour dire tout cela aux
femmes en leur demandant de faire fonctionner leur imagination d’ici notre
prochaine soirée. Toutes les deux se sont dites d’accord, et elles se
concerteront pour accomplir leur mission.
Il est bien connu que les hommes,
ces gros cochons, sont toujours prêts à tout pour satisfaire leur lubricité et pour
que leurs femmes les suivent dans leurs excès. En revanche, du côté des femmes,
c’est beaucoup plus difficile de savoir ce qu’elles ont en tête. Or la
prochaine fois, si elles veulent que le jeu se poursuive, elles devront
s’impliquer et ne pourront se cacher derrière l’alibi qu’elles ne sont que des
instruments aux mains de leurs conjoints. C’est donc une sorte de quitte ou
double qui se prépare. D’une part, nous verrons si elles sont capables de faire
preuve d’un peu d’inventivité et de nous surprendre ; d’autre part la
nature de leurs instructions devraient nous en apprendre un peu plus sur leurs
intentions et attentes en ce qui concerne cette amitié bien particulière.
Avec Marc, nous nous concertons à plusieurs reprises pour la
préparation du jeu. De plus, nous profitons de chaque occasion pour rappeler à
nos femmes leurs obligations en la matière ; Marc étant sceptique sur leur
capacité à s’impliquer dans la rédaction d’instructions un peu coquines. A
plusieurs reprises, nous avons néanmoins la confirmation qu’elles en parlent
toutes les deux, et qu’elles travaillent de leur côté à la préparation de la
soirée. Auront nous de bonnes surprises ?
Avec cette dernière soirée spécifiquement orientée sur le jeu,
une étape a réellement été franchie dans notre relation. Nous avons en effet
atteint un niveau d’intimité que nous n’avions encore jamais connu avec un
quelconque autre couple, même si nous ne sommes pas allés très loin dans le
domaine du visuel et de l’exhibition, et les échanges physiques ayant été plutôt
limités et très sages. Voudrons-nous, oserons-nous aller plus loin ?
Il nous faudra attendre la prochaine soirée pour avoir les
réponses à ces questions.
A suivre
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