On ne peut pas dire que les commentaires soient très
nombreux sur le récit de nos petites soirées entre amis … il semble néanmoins il
y avoir des lecteurs fidèles si l’on en croit les statistiques de fréquentation
… nous allons donc en poursuivre le récit.
Lors de la précédente soirée, le jeu a fait une entrée
réussie dans notre cercle. Pour la prochaine soirée nous décidons donc de
conserver l’idée du jeu, mais cette fois-ci en sollicitant les femmes en vue de
la préparation ; on pourrait donc appeler ce nouvel épisode,
une soirée test pour les femmes ...
Un mois est passé depuis notre rencontre précédente et le
moment de notre soirée mensuelle est enfin arrivé. Nous allons rejouer au même
jeu que la dernière fois qui a plutôt bien fonctionné. Cependant, lors de la précédente soirée, j’ai vite compris
qu’une même instruction peut avoir un traitement bien différent en fonction du
moment de la soirée où elle apparaît. Ainsi pour améliorer le principe du jeu,
il est maintenant prévu trois niveaux de jeu « début de soirée »,
« milieu de soirée » et « fin de soirée » afin d’avoir une
certaine graduation dans les épreuves.
De plus, cette nouvelle soirée aura valeur de test. Nous
avons en effet demandé aux femmes de participer à sa préparation, notamment par
la rédaction des petits papiers qui nous serons destinés. Nous allons ainsi avoir
l’occasion de savoir ce qu’elles ont en tête au sujet de notre complicité
maintenant bien établie. Par ailleurs, cette fois-ci, nous ne jugeons pas utile
d’introduire la possibilité de prendre un joker, et nous verrons bien ce qui se
passe dans le cas d’un éventuel blocage.
Le soir venu, nous nous retrouvons
comme d'habitude chez nos amis. Pour le début de soirée, Carole a revêtu sa robe noire avec un
large dos nu, la même que la fois précédente, tandis que Sophie porte une tenue
inédite : un chemisier laissant apparaître un soutien-gorge Chantal Thomas
très sexy portée sur une courte jupe noire.
Nous nous installons au salon
pour l’apéritif, et je sors la boite à 6 compartiments que j’ai préparée pour
l’occasion : 3 compartiments pour les hommes et 3 pour les femmes en
fonction du niveau de chaque papier. Sur le dessus de la boîte, j’ai illustré
les couvercles des compartiments de 3 illustrations coquines pour représenter
l’évolution des 3 niveaux. Il y a déjà nos papiers dans la boite, une dizaine
pour chaque niveau à l’attention des femmes, et je leur demande d’y mettre les
leurs. Elles ont été un peu moins productives que nous, et n’ont en tout
qu’environ une dizaine de papiers à répartir entre les 3 niveaux. C’est déjà
bien, et avec Marc, avant même de savoir ce qu’elles nous ont concocté, nous
sommes très heureux de constater qu’elles ont joué le jeu.
Nous entamons rapidement le
premier tour, dans le niveau « début de soirée », avec comme la fois
précédente, un tirage au sort à chaque tour pour déterminer l’ordre de passage.
Nous sommes assis en carré autour de la table du salon, chacun sur un fauteuil
ou un canapé. Sophie me fait face, et Carole fait face à Marc.
Cela commence tout à fait gentiment
comme un début de soirée classique.
Pierre : Qu’emporterais-tu sur une
île déserte : cite un objet, un livre, un film
N’ayant jamais réfléchi à la
question, et me sentant peu inspiré, j’ai un peu de mal à répondre. Pour
commencer, comme objet je choisis une femme. Mon humour n’est pas très apprécié
des femmes, et je me fais rembarrer. Je rectifie donc avec un couteau. Comme livre,
je choisi un classique de la littérature érotique « Emmanuelle ». Je
sais, ce n’est pas très intellectuel … mais rappelez-vous le thème de la
soirée. Enfin comme film, je choisis « Pulp fiction » ; ne me
demandez pas le pourquoi de ce dernier choix. Je ne le sais pas moi-même ;
c’est certainement un de mes films préférés, mais de là à le visionner en
boucle. Nous échangeons ensuite nos points de vue, chacun disant ce qu’il
aurait amené.
Marc : Enlève tes chaussure et tes
chaussettes, petite séance de massage par ta partenaire
Marc s’exécute et enlève ses
chaussures, comme à son habitude il ne porte pas de chaussettes, tandis que
Sophie se rend à ses pieds pour le masser. Sophie semble faire cela très bien
et Marc apprécie la séance.
Pour l’instant, les deux papiers
tirés ont été préparés par les femmes. Le moins que l’on puisse dire, c’est
qu’elles n’ont pas fait preuve d’une folle audace. Enfin, ce n’est que le
début, et peut-être que la suite nous réserve des surprises.
Sophie : Réponds à une question de
ton voisin d’en face
C’est moi qui suis en face
d’elle, et comme lors de notre dernière soirée, c’est à moi que revient la
tâche de poser une question à Sophie. Il me faut réfléchir un peu de temps pour
trouver l’inspiration, puis je lui pose la question suivante :
- qu’est-ce que tu aimes dans
l’usage d’un vibromasseur ?
Cette question présente pour moi
un double intérêt. De nos conversations passées, je connais les goûts en la
matière de Marc et Sophie, et sais que Sophie apprécie particulièrement ce que
Marc appelle communément « les sports mécaniques ». Par ailleurs,
Carole est, de son côté, peu adepte de ce genre de pratique, et je me dis que
ce qu’elle va entendre va peut-être l’intéresser, et développer sa curiosité à
ce sujet.
Je ne me suis pas trompé, et tous
semblent apprécier ma question. La réponse de Sophie tient en deux
parties ; les deux parties ayant un point commun tenant à son côté plutôt
clitoridien.
- Lorsque je suis seule et que je
me fais du bien, j’apprécie avoir deux instruments : le vibromasseur, que
je pose sur le clitoris, et puis tout autre ustensile qui présente une forme
adéquate pour être introduit au bon endroit. Quand je suis avec Marc, j’apprécie
beaucoup me passer le vibro sur le clitoris pendant qu’il me pénètre.
Carole semble plutôt curieuse de
tout cela et nous discutons un certain temps sur tous ces détails techniques.
Nul doute que d’ici peu, nous ferons une nouvelle tentative pour utiliser au
mieux le vibromasseur que j’ai récemment offert à Carole à l’occasion des fêtes
de Noël.
Carole : Choisis un partenaire et
mime avec lui 10 positions sexuelles en moins de 2 minutes. En cas d’échec, tu
reçois une fessée de 5 claques sur les fesses nues
Sans grande surprise, elle me
choisit pour l’accompagner dans ce défi, alors que Marc attrape une montre pour
surveiller le temps. Elle s’élance, et, me donnant à chaque fois les
instructions pour la posture à prendre, elle enchaîne les positions. Je
reconnais bien là l’esprit joueur de Carole. Soucieuse de réussir son défi,
elle se concentre sur sa réalisation ; levant haut la jambe pour
m’enjamber, se baissant en avant, me chevauchant face à moi ou en me tournant
le dos, tout cela sans se soucier de sa courte tenue. Marc et Sophie observe
donc la scène avec amusement voire un certain intérêt tant Carole est peu
occupée à dissimuler ses charmes ; c’est certainement la première fois
qu’ils ont droit à une vision aussi directe sur son sexe. Carole a un peu de
mal à trouver les deux dernières positions, mais finalement elle réussit en un
temps très correct, à peine plus d’une minute. Elle est cependant allée un peu
trop vite à mon goût et n’a pas vraiment mimé l’acte ; elle s’est
contentée de prendre chaque position sans marquer le va-et-vient indispensable
à chaque position. Marc et Sophie ne font néanmoins pas de commentaire, si ce n’est pour confirmer
que l’épreuve peut être considérée comme réussie. Carole échappe donc à la
fessée, du moins pour cette fois.
Cela marque la fin du premier tour. Chacun étant assez impatient de la suite, le second tour ne se fait pas attendre très longtemps, tandis que nous dégustons avec gourmandise les toasts au foie gras qui nous tiennent lieu d’entrée pour le repas.
Marc : On t’offre une escort-girl.
Que fais-tu ?
Cette question n’est pas anodine.
A plusieurs reprises, nous avons en effet discuté avec marc et Sophie au sujet
d’un ami à nous, s’ennuyant dans sa vie de couple, et qui à l’occasion d’un
séjour à Paris s’est offert les services d’accompagnatrices de charme ; il
a largement les moyens, et il s’est donc choisi des prestations haut de gamme.
Le moteur de sa décision était la réalisation d’un phantasme que lui refuse sa
femme : l’annulingus. Par cette question, les femmes ont donc voulu savoir
quel est l’état d’esprit de leur homme sur ce sujet.
Avant de répondre, Marc demande
les conditions de ce cadeau. Et finalement, il nous fait une réponse à laquelle
nous pouvions nous attendre du fait des discussions que nous avons déjà
eues :
- Jamais sans ma femme. Si elle
est là, qu’elle est d’accord, qu’elle participe, c’est avec plaisir que je
profiterais de ce cadeau. Par contre, si c’est dans son dos, c’est pour moi
hors de question.
Carole : Fais un vrai baiser d’amoureux
à ton partenaire. C’est lui qui dit quand c’est terminé.
Carole se rapproche de moi un
sourire aux lèvres, et me fait un fougueux baiser. J’en profite pour lui caresser
les cuisses au passage. Je voudrais remonter mes mains un peu plus haut sur son
corps, mais elle m’en empêche énergiquement en arguant que seul le baiser est
prévu dans l’instruction. Je fais néanmoins durer le plaisir, et profite
pleinement de ce cadeau qui m’est offert.
Pierre : Quelle position
aimerais-tu essayer que tu n’as pas encore faite ?
J’ai un peu de mal à trouver, car
en terme de position, nous avons, avec Carole, un peu tout essayé ; même
si c’est avec plus ou moins de réussite. Je choisis finalement plutôt une
situation. Je raconte que j’aimerais, un jour à l’occasion d’une de nos
promenades, l’attirer à l’abri d’une porte cochère pour la prendre debout
contre un mur voire contre la porte. Nous ferions ainsi l’amour alors que nous
entendrions les passants marchant dans la rue. C’est une situation que nous
n’avons encore jamais vécue, mais qui dans l’instant doit être très excitante.
Sophie : Les yeux bandés, tu dois
deviner qui te caresse par dessus tes vêtements. Si tu te trompes, on
recommence avec quelqu’un d’autre jusqu’à ce que tu trouves.
Sophie se met debout et nous lui
passons un bandeau sur les yeux. En ce début de soirée, nous manquons d’audace,
et c’est Marc qui commence à la caresser. Ce n’est donc pas trop difficile pour
elle, et elle reconnaît rapidement les mains de son mari.
C’est déjà la fin du second tour,
et nous décidons de passer à table. Avant de nous installer, je sors de mon sac
la robe que j’ai préparée à l’attention de Carole, et dans laquelle elle ne
pouvait décemment pas quitté la maison en présence des enfants. Il s’agit de la
robe en dentelle qu’elle avait revêtue lors de notre précédente soirée. Elle
présente cependant une évolution majeure. Cette robe était assez sexy dans sa
coupe, mais un peu trop sage à mon goût. Après en avoir parlé au préalable à
Carole, qui n’a alors manifesté aucun désaccord, j’ai pris l’initiative d’en
découper la doublure, un tissu noir opaque.
Lorsque Carole revient après avoir passé la robe, le résultat est cette fois-ci à la hauteur de mes espérances, et la robe est maintenant très sexy. Plutôt courte et très décolleté, le tissu en dentelle laisse maintenant nettement apparaître ses formes appétissantes; ses seins, ses fesses sont maintenant très nettement visibles en transparence, et le spectacle est tout à fait charmant. Sophie ne veut pas laisser Carole seule dans une telle tenue. Elle quitte donc momentanément la pièce et revient juste recouverte d’une nuisette, également en dentelle, très suggestive et couvrant à peine le bas des fesses ; et cette fois-ci, contrairement à notre précédente soirée, elle s’est bien gardée d’enfiler quelque choses en dessous. Nos deux femmes sont donc encore plus désirables qu’elles ne l’étaient déjà en ce début de soirée.
Lorsque Carole revient après avoir passé la robe, le résultat est cette fois-ci à la hauteur de mes espérances, et la robe est maintenant très sexy. Plutôt courte et très décolleté, le tissu en dentelle laisse maintenant nettement apparaître ses formes appétissantes; ses seins, ses fesses sont maintenant très nettement visibles en transparence, et le spectacle est tout à fait charmant. Sophie ne veut pas laisser Carole seule dans une telle tenue. Elle quitte donc momentanément la pièce et revient juste recouverte d’une nuisette, également en dentelle, très suggestive et couvrant à peine le bas des fesses ; et cette fois-ci, contrairement à notre précédente soirée, elle s’est bien gardée d’enfiler quelque choses en dessous. Nos deux femmes sont donc encore plus désirables qu’elles ne l’étaient déjà en ce début de soirée.
Je me rends ensuite dans la cuisine pour préparer les assiettes. Avant la soirée, compte tenu de nos exigences en la matière pour ce qui les concerne, nous avions demandé aux filles comment nous devions nous habiller. Elles sont restées très vagues dans leur réponse, Carole demandant « quelque chose de rigolo ». Je profite de mon isolement pour me changer et m’habiller un peu trash. En haut un polo noir sans manche tout déchiré. En bas, un vieux slip que j’ai préparé pour la soirée avec des velcros sur les côtés pour en faciliter l’enlèvement « au cas où » et au-dessus, un vieux short tout aussi déchiré que le haut. Sur la tête, j’ai un chapeau de paille, … là aussi qui pourrait avoir son utilité.
Je reviens ainsi dans la salle
sous le regard amusé des autres. Nous pouvons maintenant passer à table, et la
discussion se poursuit tandis que nous dînons. Après le plat, nous partons pour
le troisième tour ; cette fois-ci dans le niveau « milieu de
soirée ».
Pierre : Attention ne pas lire à
haute voix – Bande les yeux de la personne de ton choix et fais la frissonner
en lui effleurant tout le corps.
Je me lève sans dire un mot. Marc
me demande de quoi il s’agit, mais je ne lui réponds pas. Connaissant le
contenu de leurs papiers, Carole et Sophie comprennent vite de quoi il s’agit.
J’attrape donc un bandeau et l’installe sur les yeux de Carole. Je lui demande
de se tenir debout, pour qu’elle soit bien accessible à mes caresses, et
commence à la toucher. Je l’effleure de mes doigts en essayant de n’oublier
aucune partie de son corps. A plusieurs reprises, surprise par l’endroit où se
posent mes doigts, elle se tortille pour échapper à mes caresses. Je commence
par les jambes, les chevilles, derrière les genoux, l’intérieur des cuisses,
endroits d’où je la sais sensible. Ensuite mes mains passent sur le haut de son
corps, les bras, le cou, le dos. Pour finir, j’investis les endroits plus
sensibles, et mes doigts s’attaquent à ses seins, à ses fesses et à son entrejambe.
Je la sens au bord de l’abandon, prête à me laisser faire d’elle ce que je
veux. Cependant la soirée n’en est encore qu’au début, et je décide rapidement
d’en rester là.
Sophie : Tu es belle. Pourquoi
cacher ton corps ? Montre délicatement toutes les parties de ton corps
sans enlever tes vêtements.
Atteinte d’un subit accès de
pudeur, Sophie détourne le sens de l’instruction. Là où les rédacteurs
pensaient que celle concernée par le papier devrait relever ou écarter ses
vêtements pour se montrer, Sophie interprète le « sans enlever tes
vêtements » à sa manière. Elle se montre donc en tournant sur elle-même,
mais sans en montrer plus que ce que l’on voit déjà. L’instruction n’étant pas
claire là-dessus, nous sommes bien obligés d’en rester là.
Marc : Faire un streap-tease de 3
minutes sur une musique.
Je me charge de trouver la
musique dans l’ordinateur, et avec l’aide de Sophie, je choisis la chanson de
Dona Summer dans le film « the full monty ». Marc s’exécute après
m’avoir emprunté mon chapeau, et tout le monde le regarde avec amusement. Je ne
peux m’empêcher de prendre quelques clichés de sa prestation. Sa tâche est en
partie facilitée par une chemise fermée par des velcros. Ce n’est pas un pro de
la danse, mais il ne se dégonfle pas, et va jusqu’au bout en finissant par un
lancer de chapeau le laissant nu comme un ver. Carole me dira par la suite
avoir détourné le regard pour ne pas assister à la vision finale offerte par
notre ami. Cela me confirme ce que je pensais déjà ; elle est beaucoup
plus à l’aise dans l’exhibitionnisme que dans le voyeurisme. A la fin, nous
félicitons Marc pour son spectacle et pour son courage. Il faut remarquer que
c’est la première fois que l’un de nous se retrouve nu au milieu des autres …
et que ce sont les femmes qui en sont à l’initiative. Ne serait-ce là un indice
prometteur pour la suite ?
Carole : Choisis quelqu’un pour te
donner une fessée déculottée de 10 claques.
Carole n’a vraiment pas de
chance, et comme lors de notre précédente soirée, cela tombe sur elle. Ce n’est
pas encore cette fois que nous assisterons à une prestation de nos amis en la
matière ; sachant qu’ils sont très friands de ce genre de pratique. Là encore,
Carole se dirige vers moi. Je suis donc chargé de lui infliger la punition. Je
commence par l’installer debout appuyée au dossier d’une chaise tandis que Marc
et Sophie profitent bien du spectacle qu’elle offre le buste penché en avant et
les fesses découvertes. Cette fois-ci, j’alterne les fessées du bout des doigts
avec les caresses sur les fesses et son sexe que je trouve déjà tout humide. Je
lui administre ainsi cinq claques. Ensuite, je décide de changer de position. Je
m’assois sur un canapé et allonge Carole en travers de mes genoux pour finir
mon travail. Elle ne proteste pas trop, et semble trouver cela assez agréable,
même si elle finit la séance avec les fesses un peu rouges.
Après la fin de ce tour, je passe à la cuisine avec Marc pour la préparation du dessert. Vous comprendrez bientôt que le dessert a été choisi très soigneusement. Il s’agit en effet d’un ananas melba avec glace à la vanille et crème chantilly faites maison ; la chantilly devrait d’ailleurs avoir l’occasion de resservir avant la fin de la soirée. Nous nous installons de nouveau au salon pour la dégustation du dessert. Ensuite, nous engageons rapidement le quatrième tour.
Pierre : Raconte une histoire qui
nous fera mouiller toutes les deux.
La tâche s’avère d’entrée
difficile, et je ne dispose que de quelques minutes pour trouver l’inspiration.
Je me positionne sur une chaise entre elles deux.
- Afin de vous faire rentrer plus
facilement dans l’histoire que je vais vous raconter, je vous masque les yeux. Je
vais vous parler à la première personne. Faites le vide dans votre tête, et
laissez-vous mener.
Je commence ensuite mon récit.
Voici dans les grandes lignes, ce que cela donne avec en plus quelques
précisions sur ce qui se passe pendant que je raconte.
Ce matin, après mon départ au
travail, tu as trouvé, sur la table de la cuisine, une enveloppe adressée à ton
nom. Tu t’es dit en toi-même « qu’est ce qu’il est encore allez
inventer ? ». Tu l’as néanmoins ouverte pour en lire le contenu.
Dedans je t’écris que je te rendrai visite cet après-midi à 15 heures. A cette
occasion je te demande de t’habiller de ta courte robe noire, sans rien
d’autre, de placer un bandeau sur tes yeux, et d’attendre sur une chaise au
milieu du salon. Tu te demandes un
temps, si tu vas te plier à mon nouveau jeu. Mais, ne voulant pas me décevoir,
et surtout parce que tu aimes cela, tu n’hésites pas longtemps ; et le
moment venu, dans l’attente de ma visite, tu te prépares. Tu commences par une
douche. Rien qu’à l’idée de ce que je pourrais te faire subir, tu sens déjà
l’excitation monter en toi. Alors que tes mains enduites de savon parcourent
ton corps, tu aurais envie d’aller plus loin et de te caresser pour satisfaire
ce désir qui t’envahit. Cependant tu décides de garder ton plaisir pour moi, et
tu sors de la douche insatisfaite. Tu te parfumes le corps, puis passes la robe
demandée. Il est bientôt l’heure, et tu vas prendre position dans le salon, un
bandeau sur les yeux. Tout à coup, la porte s’ouvre. Tu te demandes si c’est
bien moi, m’interpelle … mais je ne réponds pas et t’ordonne juste de te taire.
Hésitante, inquiète, … tes mains se rapprochent de ton visage pour délivrer tes
yeux. Tu n’es pas assez rapide, et tu sens deux mains fermes agripper tes
poignets et les rabattre dans ton dos. Au même moment, ma main droite agrippe les
poignées de Sophie et ma main gauche ceux de Carole, et je les rabats en
arrière. Rapidement,
tu te retrouve attachée, les mains dans le dos, les pieds aux montants de la
chaise, avec impossibilité de bouger… Peut-être est-ce mieux ainsi. Tu ne seras
en effet pour rien dans ce qui se passera par la suite. D’autant plus que tout
à coup tu entends un bruit. Tu ressens alors la vague impression que nous ne
sommes pas seuls dans la pièce, mais sans autre confirmation. Puis tu sens une
main qui te caresse. Dans l’histoire je décris alors le parcours de mes
doigts tandis que dans la réalité mes doigts suivent le même chemin. Pour
l’instant je ne me rapproche ni du sexe ni des seins. Au petit sourire au coin
de leurs lèvres, je crois comprendre qu’elles apprécient mon histoire. Je
continue donc mon exploration. Je fais un signe à Marc qui se rapproche de
Sophie, et les choses sérieuses commencent. Ton excitation ne fait que s’accroître,
et naturellement tes cuisses s’ouvrent pour être mieux caressées. Tu sens alors
mes doigts se rapprocher de ton sexe déjà tout gonflé. Mes doigts caressent alors
franchement la fente de Carole, tandis que Marc fait de même avec Sophie. Je
leur raconte comment je les caresse, tandis que Marc enfonce un doigt dans la
chatte de Sophie. Tu sens alors deux mains investir tes seins tandis qu’une autre est
toujours sur ton sexe. Tu ne comprends plus. Mais tout absorbé à ton plaisir,
tu ne réagis pas.
J’estime avoir atteint mon
contrat. Pas de doute, elles mouillent toutes les deux et j’arrête là mon
récit. C’était par ailleurs très excitant pour marc et moi d’avoir nos deux
femmes assises côte à côte, la robe relevée et se laissant faire sous nos
caresses.
Cela leur a visiblement plu, même
si de mon côté je suis un peu insatisfait de mon histoire qui ne brille pas par
son originalité. Enfin le principal est d’avoir réussi la mission. La chatte de
Carole est en effet dans un état d’excitation indiscutable ; et sans être
allé vérifié de près, j’ai visuellement la confirmation que celle de Sophie est
dans un état comparable. C’est la première fois que les femmes nous offrent ainsi
une vision aussi explicite sur leur chatte.
Carole : Isole-toi avec une
personne de ton choix. Celle-ci pose 5 gommettes sous tes vêtements. A votre
retour, les autres cherchent les gommettes sans jamais ôter de vêtement.
Je sors 5 gommettes que j’avais
préparées et Carole choisit d’aller s’isoler avec Sophie qui a pour mission de
coller les gommettes. A leur retour nous nous attaquons à la recherche. Assez
vite, nous avons la surprise de constater que Sophie a bien collé les gommettes
sous la robe mais sur le tissu et non pas sur la peau … ah les blondes !!!
Enfin cela ne gâche pas notre plaisir, et c’est avec application que Marc et
moi cherchons les petites pièces autocollantes. Nous profitons pleinement de la
situation, et découvrons toutes les parties du corps de Carole ; mettant à
nu ses fesses, ses seins, son sexe, … ayant des difficultés pour trouver la
dernière nous y revenons même. Carole est bien obligée de rester immobile alors
que nous la fouillons de toute part, lui demandant d’écarter les cuisses pour
avoir accès au moindre recoin. Finalement, nous réussissons à trouver la
gommette manquante, et cela s’arrête là… une bien belle épreuve !!!
Sophie : Chaque participant de la
soirée, toi incluse, décide d’une pose coquine que tu dois prendre pour la
prise d’une photo qui pourraient illustrer la couverture d’un magazine de
charme.
Je suis un grand amateur de
photos de charme - Carole étant mon modèle unique et préféré – et il fallait
que je glisse dans le tas une telle instruction. C’est Carole qui commence et je
lui tends l’appareil photo. Elle donne alors ses directives à Sophie pour la
pose : une photo tout à fait sage de dos, la tête tournée vers le
photographe. Après c’est au tour de Marc qui se révèle un peu plus coquin. Il
demande à Sophie de s’appuyer contre la table à manger, les mains en arrière,
les fesses presque assises ; cela fait nettement remonter sa courte
nuisette, ce qui donne une photo charmante ne cachant rien de son sexe épilé et
de sa toison bien entretenue. C’est mon tour : je lui demande de se mettre
debout et de se pencher en avant. J’adore faire ce style de photo avec Carole
lorsqu’elle prend une telle pose et que sa courte robe remonte naturellement
découvrant une paire de fesse encadrant sa fente toute lisse. Cependant Sophie
souffre d’un mal de dos et cette pose ne lui plait pas. Je la fais donc asseoir
dans un fauteuil, les cuisses pas tout à fait jointes, et je la photographie
telle quelle. Vient le tour de Sophie de choisir sa pose. Marc prend
l’appareil. Elle se poste debout face à lui, et pose un pied sur l’accoudoir
d’un fauteuil. Là aussi la photo est plutôt réussie. Désolé pour vous, mais ces photos là, vous ne les verrez pas ici, vous ne pourrez donc qu’imaginer la
qualité de ces clichés et me croire sur parole.
Marc : Ton voisin d’en face
t’enlève le vêtement de son choix. Si cela te met nue, tu t’habilles selon son
choix.
Cette instruction avait été
préparée par nous à l’attention des femmes. Mais il n’y a plus de papiers dans
la case « milieu de soirée » pour les hommes, et Marc a tiré un
papier dans la case destinée aux femmes. Carole est plutôt chaste, et elle lui
fait enlever sa chemise.
C’est la fin du quatrième tour,
et il ne nous faut pas longtemps pour engager le cinquième tour ; avec le
début des choses sérieuses puisque nous passons aux cases « fin de
soirée » ; avec Marc nous retrouvons ainsi les papiers préparés par
les femmes.
Marc : Enduis de chantilly une
partie du corps de la personne de ton choix et lèche-là.
La chantilly va enfin servir.
Marc demande à Sophie d’aller s’asseoir sur la table de la salle à manger. Il
lui baisse le haut de sa tenue, et badigeonne ses seins de crème. Ensuite, il
la nettoie avec application. Comme vous l’avez déjà lu, les seins de Sophie
sont plutôt menus. Cela fait d’autant plus ressortir le plaisir qu’elle ressent
à se faire lécher les seins dont les tétons deviennent imposants. Nous admirons
le spectacle qu’ils offrent tous les deux, et j’en profite là encore pour
prendre quelques photos.
Carole : Caresse le sexe de ton
partenaire pendant 1 minute.
Les instructions des hommes
apparaissent bien plus directes dans cette troisième phase du jeu. Cependant Carole
ne semble pas choquer par une telle instruction ; elle vient à mes côtés,
et commence à me caresser à travers mon short. Assez vite, et pour mon plus
grand plaisir, ses doigts glissent à l’intérieur. C’est très agréable, et je
deviens vite plus très présentable ; d’autant plus que mon slip bricolé
avec des velcros ne tient pas le coup. Mon sexe est donc ainsi vite libéré de
toute entrave, et ce n’est pas le short largement déchiré qui dissimule les
choses. Un bras autour de mon coup, l’autre main empoignant mon sexe, Carole
est lovée contre moi. Elle m’embrasse amoureusement le cou et le visage tandis
qu’un va-et-vient efficace me donne un plaisir très agréable. Et c’est sans
aucune gêne que je reçois ses caresses sous le regard de nos amis. Heureusement
la minute s’écoule très vite, car il ne m’aurait pas fallut beaucoup plus de
temps pour venir entre ses doigts.
Sophie : Choisis quelqu’un qui te
lèche la peau en remontant toute la colonne vertébrale des fesses à la nuque.
En même temps, il peut te caresser avec ses mains.
Sans autre commentaire Sophie
vient se placer devant Marc en lui tournant le dos. Pour mener à bien sa tâche,
il choisit de faire glisser les bretelles de la nuisette le long des bras de
Sophie qui se retrouve ainsi quasiment nue devant nous puisqu’elle a le dos
découvert jusque sous les fesses. Marc remplit sa mission avec application
tandis que Sophie semble apprécier les caresses de cette langue sur sa peau.
Pendant ce temps les mains de Marc ne restent pas inactives, et avec Carole
nous décelons un imperceptible mouvement de Sophie voulant visiblement
favoriser l’accès à son entrejambe.
Pierre : Attache la personne de
ton choix à la chaise, mets-lui un bandeau sur les yeux et donne libre cours à
ton inspiration.
A ce stade, il est intéressant de
constater que nos femmes ont bien joué le jeu lors de la préparation, et que
leurs petits papiers sont tout aussi intéressants et plaisants que les notres.
Cela confirme d’une part que nous avons bien fait de les impliquer dans la
rédaction, et d’autre part, qu’elles aussi ont envie d’un peu de piment. Ainsi
dans les deux dernières instructions (enduire une partie du corps … et attacher
une personne de son choix…), elles nous ont offert le plaisir de faire d’elles
ce que nous voulons ; cadeau qui est certainement loin de leur déplaire.
On devine néanmoins qu’elles ont plutôt choisi de se placer dans un rôle passif,
laissant aux garçons le choix d’aller plus ou moins loin. Dans les deux cas en
effet, elles sont restées très vagues sur le contenu de l’instruction,
préférant certainement laisser la responsabilité d’un éventuelle
« dérapage » au réalisateur de l’instruction.
Je demande à Carole de se placer
sur une chaise, tandis que Marc va chercher quelques sangles, dont je me dis
que ce n’est pas la première fois qu’elles sont employées à un tel usage.
J’attache les mains de Carole dans le dos de la chaise, et les chevilles aux
montants. Elle a les yeux bandés, et curieusement nous nous retrouvons un peu
dans la situation de l’histoire que j’ai inventée pour les femmes plus tôt dans
la soirée. Dans cette pose, elle ne peut que se soumettre à mes caresses … même
si visiblement elle n’a nullement l’intention de s’en soustraire. A ce moment
de la soirée, je ne perds pas trop de temps dans l’approche, et après l’avoir
brièvement caressée un peu partout, mes doigts et ma bouche se dirigent
rapidement vers ses endroits les plus sensibles. Je sors ainsi ses seins de la
légère robe et découvre en même temps son pubis. Je m’en donne alors à cœur
joie ma bouche sur ses seins et mes
doigts lui caressant le sexe. Le bandeau sur ses yeux m’empêche de voir le
regard de Carole, mais je me doute que dans un tel moment, pour ne pas assister
au spectacle qu’elle offre ainsi à nos regards curieux, elle aurait
naturellement fermé les yeux. Son corps répond favorablement à mes diverses caresses.
Malgré les liens, son bassin va en effet naturellement à la rencontre de mon
doigt par un léger mouvement de va et vient. Une fois détachée, Carole a les
jambes qui flagellent lorsqu’elle rejoint sa place sur le canapé.
Sans trop de transition nous enchaînons sur le sixième tour de jeu.
Marc : Rends-toi dans la salle de
bain et ouvre la boite en bois
Nous sommes tous les deux
intrigués. Marc se lève et se dirige dans la salle de bain. Au bout de quelques
instants, les femmes lui demandent s’il est prêt. Il répond que
« oui ». Les femmes se dirigent donc pour le rejoindre et je les
accompagne. J’ai la surprise de retrouver Marc allongé sur le lit de leur
chambre. Je vais dans la salle de bain avoisinante et trouve le papier
suivant : Déshabille-toi (en slip) et mets
le peignoir et le bandeau sur les yeux (ne triche pas) et va t’allonger dans la
chambre des parents. Je les rejoins, et découvre Sophie et Carole
en train de le caresser par le moyen de plume et autres foulards. Elles ont
dénoué le peignoir, et il semble apprécier le jeu, même si visiblement cela ne
va pas jusqu’à le mettre dans un état d’excitation repérable. Je me dis que
j’aurai aimé avoir le papier à sa place, même si je trouve nos femmes plutôt
timides sur les caresses qu’elles lui prodiguent. Elles s’occupent de lui un bon
moment, tandis que je prends de nouveau quelques photos en me disant que marc
appréciera de voir ce qu’elles lui ont fait.
Après environ 5 minutes, elles
mettent fin au jeu et nous regagnons le salon.
Sophie : Les yeux bandés, tu es
allongée sur la table du séjour, à la merci des autres pendant 3 minutes.
Il est encore curieux de
constater une nouvelle fois comment nos papiers et ceux de nos femmes se
rejoignent et se complètent.
Sophie s’allonge donc sur la
table à manger, et tous les trois nous nous chargeons de lui faire passer un
agréable moment. Alors que précédemment je n’étais que spectateur et trouvais
les femmes, notamment Carole, bien peu entreprenantes, je m’aperçois que ce n’est
pas si facile de caresser le corps d’une autre femme que la sienne. Si Marc est
un peu plus entreprenants que les femmes dans l’épreuve précédente, caressant
ouvertement les seins et le sexe de son épouse, je suis beaucoup plus timide, ne
frôlant le corps de Sophie que du bout des doigts. Il en est de même pour
Carole qui reste très en retrait. Les caresses de Marc semblent cependant
suffisamment précises pour faire
ressentir à Sophie un plaisir bien agréable.
Carole : Choisis quelqu’un qui
t’enduit de chantilly la partie du corps qu’il souhaite et te nettoie avec sa
langue.
Sans grande surprise une nouvelle
fois, Carole me choisit, et je lui demande de s’installer, comme l’a fait Marc
avec Sophie, assise sur la table à manger. Je commence par lui dénuder un sein,
mais après un revirement de dernière minute, cela n’étant pas très original, je
lui remonte sa robe et lui demande d’écarter les cuisses. Je lui recouvre donc
de chantilly son sexe épilé de près ; tout en faisant cela je ne lésine pas
sur la quantité, n’hésitant pas à glisser la cuillère entre ses lèvres. C’est
la première fois que nous nous livrons à un tel jeu, et je prends beaucoup de
plaisir à tout cela : la chantilly, la fente humide sous ma langue, le
regard amusé et certainement un peu excité de nos amis … Je m’applique à bien
la nettoyer, et à enlever ce qui a pu s’insinuer à l’intérieur. Sur la fin,
j’introduis un doigt dans sa chatte pendant que je la lèche. Il n’aurait pas
fallu grand chose pour que je la mène jusqu’à la jouissance ; cela fait
en effet plusieurs fois que mes doigts ou ma langue caressent son sexe au cours
de la soirée, et je la sens dans un état de tension extrême. Cependant, la
soirée n’est pas terminée, et une fois le tout bien propre je stoppe mon ouvrage.
Le lendemain, j’apprendrai que cela a également beaucoup plu à Carole. En
effet, lorsque je lui demanderai son moment préféré de la soirée, après un peu
de réflexion, elle me répondra, un peu de gêne dans la voix, … la chantilly.
Dommage … ni Marc ni Sophie, certainement trop occupés à profiter du spectacle,
n’ont pensé à prendre une photo pour garder un souvenir de ce très charmant
moment.
Une nouvelle fois, nous avons
épuisé le stock de papiers préparé par nos femmes. Il ne reste donc plus que
les papiers préparés par Marc et moi-même.
Pierre : Tu es assis sur une
chaise les yeux bandés avec interdiction de bouger. Choisis quelqu’un qui fait
ce qu’il veut de toi pendant 3 minutes.
Je vais m’installer sur une
chaise, et demande à Carole de me rejoindre pendant que je passe un bandeau sur
les yeux. Tandis qu’elle me caresse le corps, m’embrasse de place en place, je
m’efforce de respecter l’instruction à la lettre et de rester immobile. C’est
très agréable de se faire ainsi câliner les yeux bandés en se demandant quelle
sera la prochaine partie du corps atteinte. Je reste cependant sur ma faim, car
Carole reste assez soft, et ne se rapproche pas trop des zones sensibles.
Veut-elle me ménager ? A-t-elle peur d’en faire trop ? Je pencherais
plutôt pour cette seconde hypothèse et pour un relent de retenue lorsqu’il
s’agit de faire preuve d’initiatives.
C’est ainsi que se termine le
sixième tour, et il commence à être tard. Nous décidons cependant d’en faire un
dernier avant de nous quitter.
Marc : Habillé uniquement d’un
tablier, tu sers des consommations ou petites dégustations à l’assemblée.
Chaque personne que tu iras servir a le droit de te caresser là où elle veut.
Marc va donc s’isoler dans la
cuisine, et conformément à l’instruction, il nous rejoint, nu sous un tablier,
et portant un plateau avec verres et boissons. Il commence alors à nous
demander ce que nous voulons boire et à nous servir. C’est assez cocasse de le
voir faire le service dans cette tenue. Nous avions imaginé cette instruction
pour une femme, et j’avoue que cela m’aurait certainement plu davantage. Enfin
les femmes semblent apprécier, et cela les fait rire.
Carole : Chacun est à côté de sa
partenaire. La lumière est éteinte pendant 5 minutes. C’est toi qui contrôle le
temps.
C’est l’un des passages très
agréables de la soirée. Carole me rejoint sur le canapé, et Marc et Sophie
prennent place sur un canapé voisin. La lumière est éteinte et nous sommes dans
la pénombre. Carole se place à califourchon sur moi et nous nous embrassons
fougueusement ; nous sommes en effet très excités par tout ce que nous
avons déjà vécu. Il m’est très facile dans cette position d’atteindre son sexe,
et je le découvre dans un état d’excitation très avancé ; ce qui n’est guère
étonnant compte tenu de tout ce qu’elle a déjà enduré. Son sexe est gonflé à
l’extrême, les lèvres ouvertes baignant dans une abondante humidité. Je la
caresse en lui embrassant les seins. J’ai envie d’aller plus loin, et baisse
mon short dans l’optique de la pénétrer ainsi. Il fait très sombre, nos amis
sont sur l’autre canapé, bien peu soucieux de ce que l’on fait, mais cela
semble la déranger de poursuivre. Elle change alors de position en s’allongeant
à mes côtés, les cuisses largement écartées. Je poursuis mes caresses, tandis
qu’elle s’occupe de mon sexe avec ses doigts. Après la soirée, elle me
racontera que cela lui faisait mal tellement elle avait envie ; pourquoi
alors cet excès de pudeur m’empêchant de conclure de belle manière. A nos
côtés, aux bruits que nous entendons nous comprenons que nos voisins ne restent
pas inactifs. Finalement, comme convenu, c’est Carole qui sonne la fin et qui
rallume la lumière. Les regards et les sourires en disent long sur ce que
chacun a pensé de cette séance. Nous ne savons pas jusqu’où ils sont allés,
mais ils semblent avoir nettement apprécié cet interlude. Quelques jours plus
tard, Marc me dira même que cela a été son moment préféré de la soirée.
Répondant à mes questions, il m’apprendra qu’ils ont tout fait sauf la
pénétration : caresse, fellation, cunnilingus …
Pierre : va près de ton
partenaire. Il doit vérifier si tu es excitée, et après cela dire aux autres ce
qu’il en pense.
Je vais me placer près de Carole
qui glisse la main dans mon slip. Il s’est passé quelques instants depuis la
fin de nos petits jeux dans le noir, et mon sexe a un peu perdu de sa vigueur.
Elle en fait donc la remarque d’un air moqueur. Heureusement Marc vient à mon
secours en précisant qu’il est impossible de maintenir une érection toute une soirée. Mais de toute façon, avec ses doigts autour de mon sexe, il ne me faut
pas très longtemps, pour retrouver une forme optimale. Elle finit donc par
confirmer à l’assemblée que je suis bien excité.
Sophie : ton partenaire te
lèche, suce et mordille la poitrine. Il décide quand c’est fini.
Décidément, ce soir, les seins de
Sophie sont à la fête. Marc la rejoint donc sur le canapé et lui baisse le haut
de sa tenue. De sa bouche, il s’applique alors à lui « torturer » les
seins et les tétons qui ne tardent pas à reprendre un volume significatif.
Cette dernière instruction sonne
la fin de la soirée. Nous rangeons nos affaires ; Carole se change en
prévision du retour à la maison et Marc nous accompagne pour récupérer ses
enfants. Nous nous quittons en nous souhaitant mutuellement une bonne fin de
soirée, un sourire aux lèvres. Pour nous, la soirée se finit, comme d’habitude,
assez rapidement. Carole est néanmoins légèrement déçue par l’intensité de son
orgasme, pas à la hauteur de l’excitation accumulée tout au cours de la soirée.
Nous apprendrons le lendemain que tout s’est également bien terminé pour Marc
et Sophie.
Cette soirée, que nous avons tous
beaucoup appréciée, a apporté quelques évolutions notables. La nudité,
l’exhibition ont ainsi fait une entrée naturelle mais remarquée, et cela sans
gêne ni tabou. Nous sommes bien loin d’une des remarques de Carole faite sur l’oreiller
il y a quelques temps : « c’est hors de question que je leur montre
quoi que ce soit ». Les contacts physiques entre les couples sont cependant
restés très succincts, chacun choisissant son partenaire dès qu’une action un
peu coquine s’annonçait. L’appareil photo a également fait son apparition, ce
qui nous permettra de conserver quelques souvenirs de nos meilleurs
moments ; même si ce sont des clichés que nous ne pouvons guère partager
avec d’autres. Mais le plus important de cette soirée tient certainement aux
enseignements que l’on peut en tirer sur l’état d’esprit de nos épouses. Si
avec Marc, nous étions d’accord pour prendre du plaisir ensemble, sans se fixer
de barrière à priori, nous étions un peu dans l’incertitude et l’expectative en
ce qui concerne nos femmes ? Certains commenteront certainement qu’il
suffisait de les questionner. Peut-être, mais je crains que ce ne soit pas si
simple, notamment lorsque l’on s’attache à de demander se qui se passe dans un
cerveau féminin. Si j’avais posé à Carole la question suivante :
-As tu envie que je te lèche la
chatte devant nos amis ?
Je ne suis pas sûr qu’elle
m’aurait répondu :
- Oh oui, fais le moi.
J’adorerai.
Il y a en effet une différence
notable entre se laisser aller dans le feu de l’action, parce que l’on se sent
bien et à l’aise, et exprimer par les mots ses phantasmes et envies. Parfois,
il vaut donc peut-être mieux laisser patiemment faire les choses. Et je pense
que cette soirée nous a donné raison. Elle a en effet été très instructive sur l’état
d’esprit de nos femmes, et elles semblent, tout autant que nous, attirées par
ce genre d’expérience et prêtes à se laisser aller, comme peuvent en témoigner
les petits papiers qu’elles avaient préparés ainsi que leur comportement au
cours de la soirée.
Cette dernière soirée était une
sorte de quitte ou double. Nous savons maintenant que le jeu peut continuer …
mais jusqu’où ira-t-il ?
A suivre
votre blog est trés bien tourné bonne continuation à vous ! gros biz
RépondreSupprimerhttp://photocharmenous.canalblog.com
Merci Michael et Sandra pour votre gentil commentaire. Nous sommes allés voir votre blog sur lequel on a bien apprécié la qualité de vos photos ... on vous met d'ailleurs dans notre liste. Vous êtes les premiers. Biz
RépondreSupprimerBonjour, un grand merci pour vos récits. Je ne sais pas si ces récits sont au jour le jour ou si ce sont des souvenirs mais en tout cas c'est très plaisant.
RépondreSupprimerD'autant plus que nous avons exactement la même relation avec un couple d'amis. Nous sommes à la même étape. Exhibition, caresse coquine entre couple (peut-être un tout petit peu plus loin que vous) et nous ne savons pas ou cela va finir (cela fait maintenant 1 an que nous avons commencé ces petits jeux). En espérant la suite prochainement.
Vos récits m'ont d'ailleurs donné quelques bonnes idées de jeux. J'en profite pour vous donner les jeux auquels nous jouons (et qui pourront peut-être vous inspirez). L'idée est de bander les yeux des femmes (même chose pour les hommes par la suite) et de leur présenter une partie de notre corps. Elles doivent alors deviner à qui appartient le bras/jambe/bouche/sexe (à vous de sentir jusqu'ou elles sont prêtes)
RépondreSupprimerRapidement nous avons été plus loin en ne présentant plus des parties de corps mais en embrassant/caressant/déshabillant le corps des femmes (toujours dans l'optique qu'elles nous disent qui était entrain de s'occuper d'elles).
Un jeu vraiment sympa puisqu'il permet d'aller du plus sage au plus coquin en fonction de l'ambiance de la soirée.
Cdlt
Vin et Or
Réponse à Anonyme 16h46 ... c'est vrai que ces récits ont été écrits au jour le jour - j'ai toujours aimé nos expériences lorsqu'elles sortent un peu de l'ordinaire - d'où des faits assez précis quand on sait que les premiers datent d'environ 7-8 ans en arrière. Maintenant ce sont des souvenirs, même si cette relation dure toujours, comme vous pourrez le découvrir dans les épisodes à venir ... vous découvrirez également que les choses ont également progressé et ne sont pas toujours restées aussi "sages".
RépondreSupprimerSi vous revenez, merci de signer votre message (un pseudo, un prénom) juste histoire de savoir à qui nous avons affaire.
Réponse à Vin et Or ... venez lire la suite qui sera prochainement publiée ... vous reconnaitrez une partie de vos jeux ... et vous verrez que nos jeux ont beaucoup évolué par rapport à cette soirée racontée ici, une soirée un peu charnière puisqu'elle nous confirmait que les femmes aussi voulaient jouer.
RépondreSupprimerBonjour et merci pour votre rapidité de réponse. Sans vouloir m'imposer, je dois avouer que je suis très intéressé par avoir un moyen "moins public" de vous contacter. Pas que cela m'ennuie que tlm lise les nombreuses questions que j'ai sur le bout des lèves mais surtout la peur de flooder votre sujet par des questions qui vont essentiellement se ramener à "mon expérience". En effet, j'ai de nombreuses question qui restent sans réponse par rapport à ce que nous visons: Est ce dangereux d'aller plus loin ? les femmes sont-elles réellement partantes? risque que toutes les soirées finissent par des parties de jambes en l'air? Bref, une soif de vous parler, de vous questionner qui me semble inapropriées sur votre sujet. Cordialement Vin et Or
RépondreSupprimerPas de problème pour discuter au contraire. Mais je préfère ne pas mettre notre adresse mail ici ... Venez nous retrouver sur le forum sexualité de doctissimo ... vous nous y trouverez avec le pseudo carole-et-pierre ... nous pourrons alors échanger des messages.
RépondreSupprimerUn vrai plaisir de découvrir votre histoire avec l'autre couple et surtout comment les esprits se sont lâchés et sont devenus plus coquins...
RépondreSupprimerBravo et merci de le partager avec nous.
Titoudamours
Magnifique récits vivement la suite vous êtes vraiment coquin
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