jeudi 3 novembre 2011

Une amitié particulière (2)

A la lecture des commentaires et message reçus, nous avons vite compris que certains lecteurs sont impatients de savoir comment a évolué notre amitié avec nos amis Marc et Sophie. Aujourd’hui, nous allons donc vous raconter la suite … (la suite et non pas la fin) … dans ce second épisode que l’on pourrait titrer une soirée un peu plus coquine.
Le premier épisode a été l’occasion de montrer l’enchaînement de situations qui a fait que progressivement l’érotisme est devenu l’invité-surprise de nos rencontres. Nous allons découvrir si cette ambiance bien particulière va perdurer.

Nous avons maintenant pris l’habitude depuis quelques mois de nous recevoir mutuellement régulièrement, et notre prochaine soirée est prévue pour ce soir. Cependant tout a commencé dans la semaine, lorsque je me suis dit qu’il fallait que Carole se trouve quelques tenues un peu plus sexy que celle déjà portée à plusieurs reprises.

Certains produits sont assez difficiles à trouver à San Gorasa ; il ne faut pas hésiter à changer ses habitudes, et innover avec ce que l’on trouve, quitte par exemple à modifier une recette quand on a à faire la cuisine. En revanche, au niveau des vêtements, le choix est plutôt vaste : on en trouve de toutes sortes, et en plus pas trop cher ; parallèlement la qualité n’est évidemment pas toujours au rendez-vous. 

Au cours de la semaine, je vais donc faire les boutiques. Vous l’avez peut-être compris : Carole, je la trouve très belle et désirable, et j’aime quand d’autres que moi la regardent avec un œil intéressé. J’aime les tenues qui mettent sa taille fine et sa belle poitrine en valeur ; j’aime un décolleté à la limite de l’indécence ou un dos nu montrant la courbe du dos ; j’aime les jupes et les robes un peu courtes qui ne demandent qu’à en montrer un peu plus à l’occasion des mouvements innocents de celle qui la porte. Je repère ainsi quelques robes que je trouve agréables et dans lesquelles j’imagine bien Carole. Je remarque notamment un modèle qui me tape vraiment dans l’œil. Cependant je n’ose pas l’acheter de peur qu‘il ne lui aille pas ou ne lui plaise pas.

L’après-midi avant notre soirée, je demande à Carole de m’accompagner dans la boutique où j’ai repéré ma robe préférée. C’est une robe marron clair très moulante faite d’un tissu élastique ressemblant un peu au daim. Elle présente un décolleté plutôt plongeant. Le bas est court, asymétrique, avec sur le coté une fermeture éclair qui va du bas jusque sous la poitrine. Carole s’isole dans la cabine pour la passer. Pour l’essayage, elle conserve string et soutien-gorge, mais lorsqu’elle se regarde dans la glace et remarque les marques disgracieuses laissées par ses sous-vêtements, elle a ce commentaire sans appel « il ne faut rien mettre dessous » ; ce qui, vous le comprendrez facilement, me plaît tout de suite. Dès qu’elle est sortie de la cabine, j’avais eu la même pensée qu’elle, mais je préférais attendre un peu que la remarque sorte de sa bouche. J’ai ainsi la confirmation que nous sommes sur la même longueur d’onde. Moi, elle me plaît ; ce qui est plutôt normal car plus c’est sexy, plus j’aime ; et elle deviendra la robe la plus sexy de sa garde-robe si nous l’achetons. Mais Carole, qu’en pense-t-elle ? Eh bien, elle se trouve plutôt pas mal dans cette robe, et elle a un petit sourire amusé en se regardant dans la glace. Peut-être se dit-elle en elle-même « finalement, je ne suis pas si grosse que cela ». En effet, à l’instar de beaucoup de femmes, Carole se trouve trop petite, trop grosse et avec de trop gros seins … alors que pour moi c’est parfait, enfin n’exagérons pas non plus, c’est, disons, presque parfait. Donc, le résultat lui plaît aussi, et l’achat peut se faire.

Pour la soirée, nous avions prévu de recevoir nos amis chez nous. Je rappelle que nous sommes voisins. Cependant avec les enfants ce n’est pas toujours facile en fonction de l’heure à laquelle ils vont au lit. Quelques jours plutôt, nous avions donc finalement décidé de mettre tous les enfants à notre maison avec un film, et l’instruction d’aller au lit après ; et pour nous 4, d’aller passer la soirée dans leur maison. En fin d’après midi, je vais donc porter les différents plats à leur maison, car il était convenu que, même si cela se passait chez eux, c’est nous qui préparions le repas. A cette occasion, Sophie me demande comment Carole a prévu de s’habiller. Je leur dis que nous avons trouvé une petite robe sympa, et que j’espère que Carole la portera. Marc ajoute « avec tout l’attirail » ; il est en effet très friand des bas et autres porte-jarretelles. Je lui réponds que ce ne sera pas possible, car la robe est très moulante et que Carole a dit qu’elle se porte sans rien dessous. Sophie intervient alors : « j’en ai une comme cela. Je vais la mettre ». Il faut préciser qu’à l’inverse de Carole, Sophie possède une garde-robe très bien fournie en tenues sexy. Tout s’annonce donc plutôt bien.

Je vous passe le début de soirée chez nous à faire manger les enfants. Vers 20h30, nous les quittons et allons dans la maison de Marc et Sophie, Carole ayant revêtu sa nouvelle robe. Dès que nous arrivons chez eux, Sophie va se changer (avec les enfants, elle n’avait pas osé venir chez nous déjà préparée). Elle revient dans une robe noire courte et moulante, avec un décolleté aussi avantageux que celui de Carole, même si sa poitrine est un peu moins développée. Pendant l’apéritif, il ne se pas passe grand chose, si ce n’est quelques regards appuyés sur nos femmes qui sont vraiment très belles. Nous passons à table, en continuant nos discussions plutôt orientées vers les choses du sexe. En cours de repas, à la fin d’un plat, Sophie prend Carole par le bras en lui disant « Viens. Je vais te montrer quelque chose ». Marc et moi, nous restons à table en continuant à discuter. Au bout de 10 mn, ne les voyant pas revenir, nous décidons d’aller voir ce qu’elles font. Nous avions beaucoup parlé « tenues » avant, et nous pensions que Sophie montrait à Carole certaines de ses robes. Finalement nous les retrouvons chacune sur une chaise devant l’ordinateur, avec Sophie en train de montrer à Carole sa collection de vidéos et autres photos. Elles ont toutes les deux l’air d’être très intéressées et de bien s’amuser. Je précise que ce ne sont pas des documents personnels mais des choses glanées à gauche et à droite sur le net, et qu’ils ont tous quelque chose en commun : ils se rapportent au sexe. Certains sont assez excitants, d’autres plutôt amusants voire surprenants.

Pendant qu’elles visionnent tout cela, nous nous plaçons chacun derrière notre épouse respective pour profiter également de la projection. Je ne sais plus lequel des deux à commencer, mais assez rapidement, nous sommes tous les deux à caresser innocemment les seins de notre épouse respective. Il faut dire que leur position et leur tenue nous facilitent l’accès à leur poitrine. Les femmes ne réagissent pas à notre initiative. Cependant, les tétons de Carole se dressent sous la caresse de mes doigts, et j’imagine qu’il en est de même pour Sophie. Cela dure une bonne dizaine de minutes, pendant lesquelles nous rigolons et commentons ce qui nous passe devant les yeux, nos mains toujours concentrées sur les seins de nos femmes. Ensuite nous décidons d’aller prendre le dessert. Celui-ci demande quelques préparations, et nous laissons Marc et Sophie dans le séjour tandis que nous nous rendons dans la cuisine.

Nous avons un peu l’esprit échauffé, et je profite de notre intimité relative pour embrasser Carole. Pendant notre baiser, compte tenu de sa tenue, ma main atteint facilement son sexe; je comprends ainsi qu’elle aussi ne reste pas insensible à l’ambiance de la soirée. Depuis quelques temps, Carole se fait épiler en ne gardant qu’une petite touffe de poil sur ce que l’on appelle communément le mont de Vénus. Mes doigts vont donc à la découverte de ses lèvres toutes lisses que je trouve gonflées et gorgées d’une humidité bien agréable. Elle me demande alors de ne pas trop la caresser, car elle est si excitée qu’elle a peur de jouir trop vite. Je précise ici que Carole a parfois tendance à être ce que l’on pourrait appeler une jouisseuse précoce, et qu’il ne me faut parfois que quelques va-et-vient pour qu’elle sombre dans le plaisir. Ni voyez ici, aucune fierté de ma part ; tout cela vient plutôt de Carole et de la prédisposition dans laquelle elle se trouve lorsqu’elle apprécie une situation. La seule fierté que je pourrais en tirer est celle d’avoir une femme qui accepte ses envies et son plaisir. Je continue néanmoins à la taquiné pendant qu’elle est occupée, et une fois le dessert préparé, nous rejoignons nos amis avec les assiettes ; sans savoir ce qu’ils ont fait de leur côté pendant notre courte absence.

Après le dessert, nous passons au salon, et Marc propose une petite partie de cartes. Nous jouons au poker Texas Hold’Em (ce qui passe parfois à la télé avec Patrick Bruel) avec des billets de Monopoly. Cependant, erreur grossière, certainement due à notre manque d’expérience et à un petit défaut de préparation, avant de commencer nous ne définissons pas les règles notamment pour les perdants. Ainsi lorsque Carole se trouve à court de jetons et veut que je lui en passe quelques uns (j’ai en effet un beau tas devant moi), je lui demande ce qu’elle me donne en échange. Elle n’est visiblement pas prête à aller très loin, et j’obtiens finalement qu’elle ouvre de quelques centimètres la fermeture éclair de sa robe ; cela a pour effet de dénuder un peu plus ses cuisses lorsqu’elle est assise, mais pas au point de mettre en évidence l’absence de culotte ; surtout que pour se prémunir contre cela Carole a tendance a tenir bien joints ses genoux. Ensuite c’est au tour de Sophie de se retrouver plumée. Les garçons auraient envie de continuer un peu, mais les filles ne sont pas trop d’humeur joueuses ; il est tard, tout le monde est un peu fatigué, la défaite de Sophie marque donc la fin à la soirée.

Je suis sincèrement désolé pour toi pauvre lecteur ; je t’imagine derrière ton écran, attendant une issue un peu plus coquine, « chouette une partie de poker ; cela va certainement se terminer à poil ! ».  Eh bien non. Désolé. Ici c’est la vraie vie; il te faudra donc encore faire preuve de patience.

Nous nous rendons tous les quatre à notre maison ; Marc et Sophie récupèrent leurs enfants endormis et nous nous souhaitons mutuellement une bonne nuit.

Dès la porte fermée, nous sautons l’un sur l’autre. Carole est très excitée, et nous faisons l’amour sans même prendre le temps de nous déshabiller. Sans autre préliminaire, je m’allonge sur elle, et mon sexe s’introduit en elle sans aucune difficulté – Ah enfin un peu de sexe - se dit le lecteur impatient. Mais la soirée nous a tellement émoustillés que nous jouissons tous les deux très vite et nous endormons rapidement enlacés - Quoi ? déjà fini ! - Vous voyez que moi aussi, même si cela est plus fréquent pour un homme et pas aussi glorieux que lorsque l’on parle de sa compagne, je peux être à certaines occasions un jouisseur précoce.

Le lendemain, nous discutons au réveil sur l’oreiller. Nous nous faisons quelques confidences sur notre relation avec nos amis, et ce que nous envisageons pour la suite. Il s’avère que nous ne savons pas où nous allons. Nous avons passé une très bonne soirée, mais nous n’avons aucune idée de jusqu’où cela pourrait aller. Une chose est sûr : c’est que nous apprécions tous les deux cette complicité avec nos amis, et que nous ne comptons pas en rester là. Lors de notre discussion, je dis à Carole que les vidéos qu’elle a vues l’ont bien excitée, et qu’elle était toute moite dans la cuisine. Elle me répond alors que c’est plutôt sa tenue, et le fait de se sentir très découverte dans sa robe sans rien dessous tout au long de la soirée qui lui ont fait de l’effet. Ainsi, même si elle est habituée à être nue sous sa jupe ou sa robe, cela lui procure toujours autant de plaisir.

Par ailleurs, je lui dis avoir aimé caressé ses seins alors que nous étions à leur côté ; elle me répond surprise qu’elle ne s’en est pas aperçue : info ou intox ? C’est une chose assez fréquente de la part de Carole de ne plus se souvenir de détails qui, une fois l’excitation passée, forment pour elle des souvenirs bien embarrassants. 

A la fin de notre discussion, Carole m’apprend qu’elle a eu l’occasion de voir le sexe de Sophie au cours de la soirée. Je suis tout surpris, et lui demande de me raconter. Ainsi en fin de soirée, au moment de quitter leur maison, Marc a brusquement soulevé le bas de la robe de Sophie jusqu’à faire apparaître son sexe nu. Carole a alors tout vu et bien profité de ce qui lui était offert. De mon côté, j’avais bien remarqué la manœuvre de Marc,  mais d’où j’étais, je suis passé complètement à côté du spectacle. Peut-être qu’une prochaine fois …

Dans la journée, nous voyons Marc et Sophie. Ils semblent comme nous être contents de leur soirée, et nous disent avoir passé un très bon moment ; la fin ayant été pour eux tout aussi réussie et expéditive que la notre.

Une nouvelle soirée est prévue sur le même principe le mois prochain. J’en vois déjà qui se disent, ou du moins je l’espère, « Quoi ! Dans un mois. Il faudra attendre tout ce temps. » En effet, même si nos petites soirées nous plaisent et que nous en redemandons tous, nous ne voulons pas précipiter les choses ; l’abondance et l’excès risquant de tuer l’envie et le désir. C’est cela aussi l’érotisme, prendre son temps pour suivre ses émotions et avoir le temps de penser, de rêver, voire de fantasmer en imaginant les choses qui pourraient se passer. Mais que le lecteur se rassure. Pour lui, cela sera plus court, et les mois deviendront des semaines voire certainement des jours.

Avec Marc nous discutons un peu de ce que nous pourrions faire pour agrémenter un peu la prochaine soirée et nous envisageons de faire un petit jeu. En effet, nous sommes tous les deux d’accord pour dire que le jeu rime très bien avec érotisme, et qu’un jeu adéquate peut faire passer une très bonne soirée. Je lui propose alors quelque chose que j’ai déjà fait avec Carole au restaurant : c’est le jeu des petits papiers dont je vous ai déjà parlé dans un des posts …  et qui a déjà de nouveaux adeptes parmi les lecteurs de ce blog ; n’est-ce pas Waikaa. Pour ceux qui ont des enfants, c’est un peu « action chiche ou vérité » qui se joue dans les cours de récréations, mais pour adultes … consentants. Nous prévoyons donc un peu la même chose pour notre soirée, et qu’à chaque étape du repas, chacun tire un petit papier avec là aussi soit une question soit une instruction.

Cela pourrait nous permettre de passer une excellente soirée si nos petits papiers sont bien préparés et les femmes dans de bonnes dispositions …

A suivre

3 commentaires:

  1. Merci pour ce 2ème épisode... Les relations se nouent avec le temps ! :-)

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  2. Mort de rire sur la fin de la partie de poker !
    votre blog est excellent, et me rappelle (en plus soft pour le moment, ça démarre tout juste) ce que nous sommes en train de vivre ma femme et moi...allez je vais à 'ép 3.

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    1. Bien heureux que cela vous plaise. J'espère que vous êtes allés au bout pour découvrir que cela s'est progressivement corsé.

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